Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Aucun résumé n'est disponible pour cet ouvrage actuellement...
La littérature estampillée Ed. Nat. est rarement jouissive. Celle-ci n'échappe pas à la règle.
Tout de suite, il faut donner la clé d’un titre aussi énigmatique. Non, il ne s’agit pas du nom de code d’un agent secret, ni d’une appellation bien mystérieuse d’une quelconque base secrète mais, tout simplement, de la salle de classe dans laquelle l’auteur, professeur d’anglais, enseigne.
G 229 permet de vivre cette vie de jeune prof avec ses doutes, ses satisfactions, au contact des élèves et des autres profs. Dans ce lycée Édouard Herriot de province où il ne devait être que de passage, Jean-Philippe Blondel décrit son quotidien avec humour et précision. Se mêle aussi sa vie familiale avec tous les soucis inévitables d’un jeune père de famille. Il y a aussi les voyages pédagogiques en Angleterre avec « trente ados survoltés et/ou râleurs, pendant une semaine ». Jamais on ne s’ennuie avec G 229, un roman écrit de façon très directe et donc très agréable à lire. Non sans émotion, l’auteur conte les premiers amours entre ses élèves. Il fait partager aussi son angoisse lorsque s’annonce une inspection, parle des textes étudiés en classe et de l’omniprésence de la chanson, un formidable outil pour apprendre l’anglais. Enfin, il y a les messages d’anciens élèves, traits d’union avec un passé déjà lointain, signes évidents du temps qui passe et du renouvellement des générations.
Chronique à retrouver sur : http://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron