Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
De retour dans sa ville natale, le narrateur se retrouve avec son père et revoit l'usine, partout l'usine, et tout autour d'elle la peur des avenirs d'enfant et la culpabilité, la culpabilité d'un corps aimé qui est tombé, des corps esquintés qui l'entourent, mécaniques, les corps muets, la culpabilité aussi de ne pas avoir trouvé les mots, les mots qu'il fallait dire ou ne pas dire, et la colère de ne pas les entendre. Le frère du narrateur, son père, sont « machine », plante ; lui a fui, il ne sait plus ce qu'il est parmi eux, alors il reste silence.
C'est par le langage écrit, et non oral, que leur humanité peut leur être rendue.
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