C'est à la maison de la presse de Crux-la-Ville, au fond d'un vieux carton, que Constantin Caillaud découvre Neige noire, un titre inédit d'Émilien Petit dont il croit pourtant avoir tout lu. Sa trouvaille est d'autant plus précieuse qu'elle lui donnera l'occasion rêvée de recontacter Hélène, sa maîtresse évanescente qui lui a fait comprendre et aimer l'oeuvre de Petit.
Mais, au moment de la retrouver pour lui confier le livre-sésame, il ne parvient plus à mettre la main dessus. Il cherche innocemment sur la toile : aucune trace de Neige noire. Il s'adresse à l'éditeur : ce titre n'est pas au catalogue. Il écrit alors à l'auteur et à ses amis écrivains : tour à tour Jean-Philippe Toussaint, Olivier Rolin, Antoine Volodine, Patrick Kéchichian ou encore Edouard Launet - participation excep- tionnelle de ces grandes figures du monde littéraire !
- s'émeuvent de la supercherie. Mais quelle super- cherie ? Constantin n'entendait tromper personne et pourtant le point final de cette épopée pourrait bien laisser penser que le lecteur s'est fait manipuler.
Original
Imaginez un peu que vous ayez, comme Constantin le héros de ce roman, découvert un ouvrage de votre auteur fétiche, ouvrage qui finalement n’existerait pas … Imaginez que vous ayez épousé la petite amie d’un homme disparu depuis des années … Je ne vous en dirai pas plus ! Si vous aimez l’irrationnel, ce livre est pour vous : pour ma part j’ai adoré cette petite pépite ! Le style littéraire est affirmé et digne d’une écrivaine reconnue, nulle trace de la “maladresse” du débutant ! UNE REUSSITE !
J'adore cette collection ("Qui vive") et cet éditeur (Buchet-Chastel) mais ce premier roman est vraiment raté parce qu'il sent vraiment le premier roman. L'idée de départ accroche un moment mais de trop nombreuses incohérences ou pistes qui ne mènent nulle part et une écriture sans aspérité.
Bizarre! A la fin, j'ai dû relire le début pour voir si je n'étais pas passée à côté d'un détail...On reste un peu sur sa faim/fin!
Comme neige est un petit livre rempli de fantaisie, de bonne humeur, d'imaginaire et de supercherie.
Constantin Caillaud, comptable de métier, nous fait vivre une aventure hors du commun. Il a lu un livre qui, pour lui, serait un inédit de Emilien Petit, auteur qu'il affectionne. Mais lorsqu'il veut en parler, impossible de remettre la main sur cet ouvrage. Ainsi on part dans le tourbillon de la quête du Graal pour Constantin. Il en fera une obsession !
Je me suis laissée emportée dans les dédales de la vie d'un livre qui n'existe pas ou disons pas comme le lecteur / auteur ? l'imaginait.
Je pense que beaucoup de lecteurs rêverait d'écrire un livre sans forcément se l'avouer, alors quand l'opportunité se présente, l'attrape t'on ?
Colombe Boncenne signe un premier roman vraiment très joli, une belle histoire qui allie les sentiments, la passion et une éventuelle vérité !
J'ai beaucoup aimé cette lecture ! Merci les 68 .
Comme neige est un roman au sujet original. Constantin Caillaud vient de lire « Neige noire », l’oublie à l’hôtel où il a passé la nuit avec sa femme à l’occasion d’une excursion de fin de semaine en direction de Clamecy. C’est Emilien Petit, son auteur préféré qui l’a écrit et curieusement personne ne connaît ce roman même pas la maison d’édition de l’écrivain. Constantin non plus ne l’avait jamais lu alors qu’il pensait tout connaître de cet auteur. A se demander si ce livre a vraiment existé. Colombe Boncenne nous relate alors la quête vers cet ouvrage qui paraît introuvable.
Je n’ai pas été totalement passionnée par cette histoire mais j’ai apprécié certaines belles phrases. J’ai lu ce livre rapidement, j’avais envie de savoir ce qu’il en était réellement.
https://cahiersvarisetplumenacre.wordpress.com/
Aussitôt commencé, aussitôt terminé. Il est vrai que ce petit premier roman se lit à la vitesse "grand V" tant on est emporté par son intrigue… et le reste.
"Comme neige" de Colombe Boncenne raconte l’histoire de Constantin Caillaud, grand lecteur et surtout fan absolu d’Etienne Petit un écrivain qu’Hélène, sa maîtresse, lui a fait découvrir. Mais, quelle n’est pas sa surprise lorsque, furetant dans la librairie d’une petite ville nivernaise, il découvre "Neige noire", signé de cet auteur tant admiré. De lui, il croyait tout connaître, était certain d’avoir tout lu. Surprise encore plus incroyable : au moment de le montrer à Hélène, qui n’en a pas davantage entendu parler, nulle trace du roman. Commence alors une recherche effrénée.
Ce récit relève autant de l’intrigue policière – c’est bien une véritable enquête que va mener Constantin pour retrouver ce livre disparu – que de la balade dans les arcanes de la littérature. Très habile, Colombe Boncenne a obtenu la complicité de quelques écrivains, Jean-Philippe Toussaint, Olivier Rolin et Antoine Volodine auxquels notre héros s’adresse dans sa quête du fameux "Neige noire". Leur présence, leurs réponses apportent une dimension supplémentaire à l’histoire.
On sent chez l’auteur une connaissance minutieuse des milieux littéraires et son écriture n’est pas en reste. Joliment travaillée, malicieuse, bourrée d’humour et trépidante, elle passe sans coup férir d’un rythme à l’autre selon l’humeur de Constantin. Il me semble que Colombe Boncenne a de beaux jours devant elle (La vie devant soi…) en qualité d’écrivain
Malheureusement, je n'ai pas aimé ce livre...
Constantin est fan d’Émilien Petit, auteur dont il pense tout connaitre... Mais un jour, il découvre un ouvrage inconnu de cet auteur. Il l'achète, le lis et retrouve un ancien amour Hélène fan également de cet auteur. Mais bizarrement l'ouvrage disparait et personne ne le connait. Il se lance dans la quête de cet ouvrage...
Livre long;, ennuyeux...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron
