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« J'ai longtemps cherché comment écrire avec Ingeborg Bachmann.
Traduire est la manière la plus intense, la plus triviale, de pénétrer la langue d'un écrivain. Je rougis encore d'avoir un jour dit à un écrivain J'aime ta langue sans me rendre compte de ce que je disais. J'ai traduit plusieurs poèmes d'Ingeborg Bachmann, avec une prédilection pour ceux de Ich weiß keine bessere Welt, livre posthume dont l'écriture fragile est imprégnée de sa mort tragique.
Mais, plus avant et plus loin : j'ai décidé de confronter une oeuvre à laquelle la disparition d'Ingeborg Bachmann a coupé court en 1973, à l'aune de ce qui nous parle aujourd'hui. De la mêler à une écriture actuelle (la mienne) pour travailler une pensée qui m'importe, à savoir qu'on n'écrit pas seul. » C.W.
« je n'ai plus peur j'ai nagé dans une mer infestée de crocodiles j'ai marché sous la mangrove des heures durant sur des plages blanches infinies j'ai mangé des crabes cuisinés au poivre noir Sarawak?
J'ai arrêté de penser dans l'hémisphère Sud » C.W.
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