Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Georges Brassens regrettait d'avoir quitté son arbre. Moi, je suis revenu près de mon arbre pour m'asseoir sur mes racines après les avoir quittées pendant plus de vingt ans, mais mon arbre n'avait plus la prestance qu'il avait dans ma jeunesse. Il s'étiolait vraiment, mon arbre. Ceux qui auraient dû l'entretenir l'on laissé dépérir et maintenant, il ressemble à un squelette noirci, perdu dans la brume du temps et dont les fruits tombent sans que cela ne profite à personne, pourris à cour avant d'être mûrs.
Les oiseaux qui l'égaillaient dans le temps le désertent maintenant pour d'autres arbres plus accueillants. Mais peu importe, moi j'ai gardé mon âme d'enfant et surtout l'imagination qui comblait la solitude d'être fils unique. Alors, j'ai mis quelques nouvelles, tout droit sorti de ma matière grise, dans un petit recueil pour votre plaisir. Bonne lecture !
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