Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Une démarche inaugurée au début des années 60, qui oscillait entre Apollinaire et Reverdy.
C'est dire qu'elle trahissait déjà une ambigüité manifeste...Ambigüité qui ne s'est jamais départie. En effet, entre Aube (1968) et la Préparation des titres (1980), la différence est flagrante. D'un regard vide à une saturation livresque, Guglielmi évolue librement avec plusieurs ouvrages tels que Fins de vers (où cependant l'obsession de l'octosyllabe se fait sentir), le Mouvement de la Mort, Joe's Bunker, entre autres...Plus récemment, Grungy Project et Travelogue semblent renouer avec le regard, qui maintenant traque l'ordre malade de la ville.
Plus récemment encore, l'expression se resserre et on abandonne les langues étrangères qui après Aube marquaient le texte, pour donner lieu à des vers brefs et rythmés où la strophe irrégulière devient nécessité harmonique. Ainsi qu'on peut le remarquer dans Faut suivre et Carnets de nul retour.
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