Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
En l'année du cent-cinquantième anniversaire du décès du curé d'Ars, dont le pape Benoît XVI a fait une «année du sacerdoce», la figure de l'abbé Henri Chaumont se présente à nous comme celle d'un prêtre ayant eu un ministère relativement court, mais particulièrement fécond. Il est l'initiateur d'une association sacerdotale, la Société des Prêtres de Saint-François-de-Sales, et de groupes de laïcs, les Filles et les Fils de Saint-François-de-Sales. D'une autre société de laïques, les Catéchistes Missionnaires, est issue une congrégation, les Soeurs Salésiennes de Marie-Immaculée, qui vont porter l'Évangile jusqu'aux extrémités de la terre. Tous ces groupes sont bien vivants aujourd'hui et, s'ils se réfèrent à la spiritualité de saint François de Sales, ils n'oublient pas que c'est à l'abbé Chaumont qu'ils le doivent.
Quatre-vingt-dix ans après la biographie sortie de la plume de Mgr Laveille, il a semblé important de reprendre ce portrait, de façon à rendre à l'abbé Chaumont toute sa place, à la fois dans les Sociétés qu'il a fondées tout autant qu'en direction de l'ensemble des prêtres diocésains qui pourront trouver dans cette vie des intuitions fécondes.
À la lumière de la spiritualité salésienne, il aide en effet les fidèles à dépasser la prétendue opposition entre une vie dans le monde et une vie de foi en leur proposant un chemin où l'apostolat et la vie spirituelle sont sans cesse unis.
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