Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Anna Livia Plurabelle est le chapitre le plus illustre de Finnegans Wake. T. S. Eliot le publia en petit volume chez Faber & Faber en 1930 dans une première version.
Il connut, du vivant de Joyce, plusieurs traductions auxquelles il participa. Et enn, alors qu'il lui était possible de faire un enregistrement de lui-même lisant un extrait de son ultime ouvrage, c'est un extrait de ce chapitre qu'il choisit.
Anna Livia Plurabelle est l'un des sommets du Wake et son chapitre le plus autonome.
S'il introduit, d'autre part, si bien à l'ensemble c'est qu'il donne merveilleusement à entendre la singularité du chant joycien, sa tendresse, son humour et ses inventions incessantes.
Choeur tenu au bord de la Liey, où résonnent les voix de tous les héros de la fable et de son auteur. Anna Livia Plurabelle peut se lire comme un long poème, une longue apologie où se mèle orgueil, autodérision et l'ultime ambition d'un écrivain de génie. Chant de et à propos de l'héroïne centrale dans lequel sa vie, celle de son amant, de ses enfants, leur vie commune deviennent légendaires, mélancoliques, comiques et bouleversantes.
En annexe : les dernières et les premières pages de Finnegans Wake dans une nouvelle traduction.
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