Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

André Gide et le premier groupe de La Nouvelle Revue Française t.3 ; une inquiète maturité 1913-1914

Couverture du livre « André Gide et le premier groupe de La Nouvelle Revue Française t.3 ; une inquiète maturité 1913-1914 » de Auguste Angles aux éditions Gallimard (patrimoine Numerise)
Résumé:

Entre les deux guerres La Nouvelle Revue Française était devenue, selon l'image de François Mauriac, la «rose des vents» de notre littérature. Mais comment avait-elle été créée, quelques années avant 1914, et pourquoi s'était-elle imposée dès cette première phase de sa longue existence ? De ces... Voir plus

Entre les deux guerres La Nouvelle Revue Française était devenue, selon l'image de François Mauriac, la «rose des vents» de notre littérature. Mais comment avait-elle été créée, quelques années avant 1914, et pourquoi s'était-elle imposée dès cette première phase de sa longue existence ? De ces questions est née l'importante étude à laquelle Auguste Anglès s'est livré pendant de longues années.
Elle suit les cheminements des six futurs fondateurs, leurs rencontres et les tentatives de leur «groupe invisible» qui aboutirent, à la fin de 1908 et au début de 1909, au «faux départ», puis au «vrai départ» de la N.R.F.
Grâce aux correspondances qu'échangeaient avec prodigalité les hommes de cette époque, on ne voit pas seulement s'élaborer une revue au mois le mois, on découvre aussi un réseau de relations qui s'étend à maints secteurs de la vie intellectuelle et de la vie tout court.
L'idée même du groupe reste la clé de voûte de la N.R.F., et l'on pourra conclure l'étude de ces six années dans ce sens, en citant Auguste Anglès : « Admirons que malgré l'usure des uns, l'évolution des autres, les fluctuations de leurs rapports entre eux, les apports et interventions de l'extérieur, sa résistance sur l'essentiel ait été somme toute exemplaire. Au commencement avait été l'amitié, et à la fin, après tant de fortunes diverses, subsistait l'amitié.»

Donner votre avis