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Afrique, Chine, Sibérie... Alsace ; le journal impertinent d'un expatrié

Couverture du livre « Afrique, Chine, Sibérie... Alsace ; le journal impertinent d'un expatrié » de Laurent Sommer aux éditions Do Bentzinger
Résumé:

Nous sommes trois millions d'expatriés français, partis dans tous les pays de la planète.

Ceux qui rêvent d'aventure, qui se demandent de quoi est faite la vie d'un expatrié, qui se posent la question de savoir ce que signifie la mondialisation, qui se demandent si l'expatrié parti depuis... Voir plus

Nous sommes trois millions d'expatriés français, partis dans tous les pays de la planète.

Ceux qui rêvent d'aventure, qui se demandent de quoi est faite la vie d'un expatrié, qui se posent la question de savoir ce que signifie la mondialisation, qui se demandent si l'expatrié parti depuis quinze ans a encore sa région d'origine ancrée dans son coeur, qui ne pensent pas qu'il soit possible de partir sans un diplôme d'ingénieur ou sans être trilingue, vont être surpris !

Savez-vous ce que sont devenus les descendants des colons allemands partis sur la Volga au XVIIIème siècle ? Que sont devenus certains malgré-nous restés en Sibérie ? Savez-vous d'où provient le fer qui a permis de construire votre voiture ? Connaissez-vous les dessous du Pfifferdaj de Ribeauvillé ? Savez-vous qui est Dongfeng, la société qui a racheté Peugeot ? Comment pouvez-vous travailler en milieu corrompu ? À quelles religions, quels dieux et à quelles cultures devrez-vous montrer du respect ? Et non, les destinations des expatriés ne sont pas celles de vos vacances, mais alors où sont-ils ? Et, dans ce contexte, pourquoi l'Alsace ne peut pas être rattachée à la Lorraine ou aux Ardennes ?

Les réponses sont dans ce livre.

Un expatrié n'est ni un colon, ni un missionnaire. Il ne part ni avec un sabre pour coloniser, ni avec une bible pour convertir. C'est un immigré, c'est à lui de s'adapter là où il va, que ce soit le Sahara, la Sibérie, ou les deux. Toutefois, il garde son jugement, car c'est la raison première pour laquelle on l'emploi. Au final, s'il est parti, c'est pour travailler, et bien souvent dans des endroits où le sens des mots «droit du travail» est très diffèrent qu'en France. Dans de très nombreux pays, «pas de travail» équivaut à «pas de visa». C'est ainsi pour la Chine, la Russie, la Malaisie, mais aussi le Canada, l'Australie, les USA... Sans travail, l'expatrié n'aura alors souvent que d'autres choix que de rentrer, la larme à l'oeil, ou de repartir, encore plus loin.

Car si nous partons, c'est aussi pour l'aventure.

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