Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Dans ses guerres coloniales, la France n'avait jusque là envoyé au combat que des soldats de métier, des hommes aguerris et volontaire. Mais dans les années cinquante, lorsque débuta la tristement célèbre "Guerre d'Algérie", les gouvernements décidèrent d'employer, pour des opérations de "maintien de l'ordre", des jeunes appelés du contingent. Pourquoi ? Sans doute par manque d'effectifs suffisants. Les Américains firent la même erreur avec le Viêt-Nam. Et des milliers de jeunes gens, français ou américains se trouvèrent plongés dans l'enfer des combats, dans des pays qu'ils ne connaissaient pas. Yves Salvat fut l'un de ceux-là. Pendant vingt-huit mois. Et, comme beaucoup, il en est revenu brisé moralement et nerveusement. Jusqu'à ce que, le temps aidant, il puisse retrouver le sommeil et réussir à effacer de ses nuits d'insomnie le spectre de la mort, de la guerre inutile et de la violence aveugle.
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