« Ce recueil est composé de petits poèmes pour petits enfants (ainsi que le titre Jacques Charpentreau). Les jeux de mots des papiers Carambar régalent les enfants tout autant que le caramel qu'ils mâchouillent. Ce livre est placé sous le signe de l'humour. Le grand corps de la littérature a bien besoin parfois qu'on lui morde l'orteil. Si ça le fait rire, tant mieux. Pour travailler dans les pompes funèbres d'ailleurs, il faut l'avoir ce sens de l'humour qui résulte en fait de l'art de la mise en boîte, disait Pierre Dac. Lui, bien sûr, m'a toujours inspiré, pourtant c'est Blanche mon idole : son oursin, je l'ai toujours eu dans la poche. Chez lui, les robots mangent du riz automate et comme il l'écrit : il est fort Mika et elle est polie Esther.
À cloche-pied sur la marelle de mes poèmes, disons avec Charpentreau (encore) : « Je m'élance au ciel, un, deux, trois ! »
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