Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

À 75 ans, j'en ai plein le cul d'être hypocrite (confession d'un vieux du siècle)

Couverture du livre « À 75 ans, j'en ai plein le cul d'être hypocrite (confession d'un vieux du siècle) » de Jean Geoffroy aux éditions Parole Ouverte
Résumé:

Dès la naissance, il va falloir écouter les mensonges, des amis, de la famille, des inconnus, faire croire à nos propres affabulations. Soit, c'est le prix à payer pour la vie en société. Mais, pendant des années, écouter les politiques promettre, mentir, berner, cacher, échouer, raconter des... Voir plus

Dès la naissance, il va falloir écouter les mensonges, des amis, de la famille, des inconnus, faire croire à nos propres affabulations. Soit, c'est le prix à payer pour la vie en société. Mais, pendant des années, écouter les politiques promettre, mentir, berner, cacher, échouer, raconter des contes à dormir debout, couché, assis, débiter des discours tellement vieille langue de bois qu'ils en sont vermoulus, prendre le citoyen pour un couillon (c'est dans le dictionnaire), il y en a plein le fondement. II ne faut pas trop énerver les vieux ! L'auteur, de la classe des " vrais gens " comme ils disent, tend l'oreille dans la rue, au bistrot, dans des fêtes populaires pour écouter ses concitoyens... Pour râler, ça râle ! Mais, par crainte d'ouvrir la machine à clabauder, c'est courage fuyons ! On gueule, on dit que l'époque est décadente, que l'on va dans le mur mais prudemment " on " se tait pour rejoindre le cheptel " des veaux ".Ou des autruches.

Expert en hypocrisie, témoin de la morosité ambiante, le rédacteur de ces pages, (trois quarts de siècle de vie et encore vingt-quatre dents d'origine), en profite pour mordre et " se lâcher " comme un jeune qui se lance au saut à l'élastique... II ose dire ce qu'il a dans les oreillettes, les ventricules et même les tripes ! Le lecteur peut être choqué, pas d'accord, avec un discours qui évite la tartuferie et appelle le " mal comprenant " un con. En toute simplicité et ironie...

Donner votre avis