Dans cet essai écrit d'une plume belle et acérée, l'auteur s'en prend à l'idée répandue selon laquelle la France ne pourrait pas ouvrir ses portes aux réfugiés gui fuient le chaos et la violence dans leurs pays. Etayant son point de vue d'observations géopolitiques et de références historiques, notamment à de üaulie qui estimait profitable de confondre l'intérêt de la France avec un grand idéal humanitaire, l'auteur Interpelle aussi la conscience des chrétiens : le salut vient de Dieu mais ne vient-il pas aussi de la capacité des hommes à sauver leurs prochains du malheur, comme le dit l'Évangile ?
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