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Yves Beauchemin

Yves Beauchemin
Yves Beauchemin est né à Noranda, au Québec, en 1941. Son premier livre, L'enfirouapé, couronné du prix France-Québec, l'impose déjà comme un écrivain des plus talentueux, capable de rejoindre un grand public. Son roman Le matou le propulse au rang des auteurs les plus lus. Traduit en une quinzai... Voir plus
Yves Beauchemin est né à Noranda, au Québec, en 1941. Son premier livre, L'enfirouapé, couronné du prix France-Québec, l'impose déjà comme un écrivain des plus talentueux, capable de rejoindre un grand public. Son roman Le matou le propulse au rang des auteurs les plus lus. Traduit en une quinzaine de langues et adapté au cinéma, ce best-seller lui a assuré un rayonnement international.

Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « Le Matou » de Yves Beauchemin aux éditions Viamedias

    Salix_alba sur Le Matou de Yves Beauchemin

    Prise en main de ce gros volume -670 pages, version définitive- intitulé « Le Matou », d’un auteur québécois, Yves Beauchemin.

    L’action se situe au Québec, et, nous allons partager, au fil des pages, le destin croisé de Florent Boissonneault, d’Elise sa femme, d’un vieux monsieur Egon...
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    Prise en main de ce gros volume -670 pages, version définitive- intitulé « Le Matou », d’un auteur québécois, Yves Beauchemin.

    L’action se situe au Québec, et, nous allons partager, au fil des pages, le destin croisé de Florent Boissonneault, d’Elise sa femme, d’un vieux monsieur Egon Ratablavasky et de monsieur Emile –garçon de 6 ans- avec son « matou », dans les années 70.

    Le rêve de Florent, devenir propriétaire d’un restaurant (La Binerie). Le début m’a fortement accroché, pour ensuite, avec la verve québécoise de l’auteur, continuer par une fresque de l’univers humain quotidien de cette belle contrée. Se mêlent ainsi, l’humanité, la turpitude de certains, la lâcheté d’autres, la générosité ; bref, une tranche de vie avec tous ses aléas…
    Je n’ai pas eu l’impression d’être dans les années 70 mais plutôt au XIX siècle. L’accent étant surtout mis, et avec bonheur, sur les personnages –truculents-, et non sur leur environnement.

    Un sentiment de manque m’a gâché la fin, sans pour cela attendre une « happy end », j’eusse aimé avoir les motivations d’Egon Ratablavasky quant à son obsession à « traquer » Florent. Personnage énigmatique, qui pour moi a gardé tout son mystère !

    D’agréable lecture, son style et ses personnages, nous permettent de le savourer avec délectation.