Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Voici donc un titre alléchant pour tout amateur de littérature qui désire connaître les coulisses de l’exploit, et éventuellement pour les apprentis écrivains qui recherchent la recette miracle.
L’auteur se présente sans concessions comme un jeune homme qui veut écrire un livre sans se fatiguer, avec des buts avoués : l’argent rapide, le sexe facile et la gloire qui lui permettra de prendre sa revanche sur son ex-petite amie qui va se marier…pas avec lui !
Le personnage de Pete Tarslaw monte donc une arnaque éditoriale (p 107) en fabriquant un livre type Best-seller avec des procédés types, et en se forgeant une image d’écrivain type avec des sentences types, travaillant dans des lieux types…
Mais en définitive, c’est un hommage (inversé car il faut prendre le contre-pied de ce qu’il écrit) à la vraie littérature, produit par « un trublion post-moderne », une sorte de « farceur » qui convie les éditeurs à publier son brûlot au titre de l’autodérision.
Une vue du monde de l’édition assez intéressante et réaliste, quelques moments plutôt sympas et drôles mais en général j’ai trouvé ce livre assez ennuyeux. Le héros est sincèrement antipathique et ça gâche l’histoire.
On peut sourire en reconnaissant la version Française des auteurs spécialistes des best-sellers mielleux ou la star du thriller etc.… mais voila ça s’arrête la pour moi !! J’avais hâte d’être a la fin, je ne supportais plus le héro du livre et j’ai trouvé le récit fouillis, ça partait dans tous les sens.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron