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Stephane Poulin

Stephane Poulin

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Avis sur cet auteur (2)

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    Couverture du livre « La boîte rouge » de Carl Norac et Stephane Poulin aux éditions Ecole Des Loisirs

    Christelle KORCHI sur La boîte rouge de Carl Norac - Stephane Poulin

    Un magnifique album pour les 5 ans et plus, les illustrations sont somptueuses, l'histoire vraiment belle. Le texte est beau, bien construit et réussira à intéresser les petits, mais aussi les parents. C'est un horse movie si on peut dire, la petite Luna est bien courageuse et va aller au-delà...
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    Un magnifique album pour les 5 ans et plus, les illustrations sont somptueuses, l'histoire vraiment belle. Le texte est beau, bien construit et réussira à intéresser les petits, mais aussi les parents. C'est un horse movie si on peut dire, la petite Luna est bien courageuse et va aller au-delà de la peur et des dangers pour remettre au vieil ami de son grand-père un ultime cadeau. Elle va rencontrer des animaux, des personnes qui vont l'aider à arriver à bon port.

    J'ai aimé, car c'est une belle histoire l'auteur a soigné le texte et les illustrations sont également soignées. Les thèmes abordés sont les relations grands-parents et petits-enfants, l'amitié, le courage, le respect de la parole donnée. Ce sont des qualités et des valeurs importantes et c'est une bien belle manière de les aborder avec les petits. Les jeunes lecteurs pourront le lire seuls.

    Assurément la collection Pastel est une pépinière de beaux albums.

    VERDICT

    Idéal pour les 5-8 ans, une belle histoire, un bel album à offrir pour Noël par exemple.

    https://revezlivres.wordpress.com/2016/10/25/la-boite-rouge-carl-norac-stephane-poulin/

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    Couverture du livre « Au pays de la mémoire blanche » de Carl Norac et Stephane Poulin aux éditions Sarbacane

    Colette LORBAT sur Au pays de la mémoire blanche de Carl Norac - Stephane Poulin

    Le livre est beau, la couverture intrigue. Ce n’est pas une bande dessinée, mais un album avec des dessins splendides et des phrases profondes.
    Au début, c’est blanc dans ma tête. Je ne pense à rien et ce rien paraît blanc. Pareil à la page où l’on a envie de dessiner. Ou semblable aux nuages...
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    Le livre est beau, la couverture intrigue. Ce n’est pas une bande dessinée, mais un album avec des dessins splendides et des phrases profondes.
    Au début, c’est blanc dans ma tête. Je ne pense à rien et ce rien paraît blanc. Pareil à la page où l’on a envie de dessiner. Ou semblable aux nuages les plus lents. J’ai un poids un milieu du cerveau où les pensées ne passent pas.

    Premiers dessins sur fond blanc, un plan de moins en moins flou, on voit une main bandée.
    Seconde page, nous passons au fond noir qui continuera jusqu’à la fin de l’album. Les bandages de la tête laissent deviner des oreilles, chien ou chat ?
    L’être se réveille. Il est dans une chambre d’hôpital. Un policier l’interroge et lui apprend qu’il a été victime d’un attentat et qu’il est un chien. Il va pouvoir retourner chez lui. « Chienne de vie, que fais-je dans cette ville ? On dirait que la haine commence ici ». Il retourne dans un monde où le voisin pourrait être son ennemi, où le chien domine et extermine le chat, tiens, ça titille du côté des réminiscences, un pays où les rêves de jour sont interdits !!
    Nous traversons des dessins qui pourraient faire penser, au ghetto de Varsovie, tout au moins comme je me l’imagine. L’angoisse et la peur suent, les regards sont fuyants.
    Chaque phrase de cet album est un coup de poing dans le plexus ou dans la mémoire. Peu de texte, mais, il va droit au but, sans fioriture. Carl Norac, en phrases très courtes, nous fait sentir le malaise de Rousseau, sa quête, son angoisse. Carl Norac et Stéphane Poulin nous parlent de tolérance, du racisme, de la peur, de la quête et que ce soit les pages dessins ou les pages textes, l’émotion est toujours omniprésente et nous happe.
    La mémoire blanche permet d’écrire un nouveau livre de sa vie, de regarder les autres sans aucun à priori ni sectarisme.
    Oui, vraiment un très, très bel et bon album emprunt de beaucoup de poésie. Vous le relisez, une autre face apparaît. Maintenant, il faut que je le rende à la bibliothèque, mais je l’aurais bien gardé celui-là aussi.
    Je vous en recommande vivement la lecture.