Le jury de la 16e édition, présidé par Jean-Christophe Rufin, a délibéré
Forest Innman se rend avec son fils Carson au chevet d'un homme bien mal en point, sévèrement brûlé. Mais qui est-il ? Est-il TF Merrit, le scénariste et réalisateur de "La nuit de la Goule", plus grand film d'horreur de tous les temps détruit lors de l'incendie des studios en 1956 ?
C'est ce que prétend Innman qui , bobine du film en main, tient à comprendre ce qui s'est passé cette nuit-là. Ici commence le récit d'un film marquant qui débute dans les montagnes italiennes en 1917 pendant la première guerre mondiale.
Scott Snyder nous livre un comics horrifique sous forme d'hommage au film de genre. La Goule, un monstre étrange, est au cœur d'une enquête qui risque de la réveiller...une mise en abyme où le film d'horreur flirte avec le récit de la bande dessinée.
Francesco Francavilla nous gratifie d'une prestation impressionnante avec des grandes planches horrifiques à souhait. Les pages qui racontent le film sont dans un très beau gris et noir et se démarquent bien du reste du récit.
"La nuit de la Goule" m'a fait passer un délicieux et épouvantable moment. Du bon spectacle à ne pas manquer pour les amateurs !
Snyder/Capullo, c'est un très bon duo selon moi. Le run Batman (new52) est quasi parfait, Batman métal est sympa malgré son scénario Doliprane, c'est avec joie que je les ai retrouvé ici.
Ça commence tranquille, ambiance détective. Puis ça part très vite en vrille. Ok, ce comics est donc un gros délire auquel j'ai vite adhéré. Et ne cherchons pas plus loin, ça reste une énorme blague.
J'enchaîne les pages, les chapitres, puis il ne me reste qu'un chapitre. Quelques pages. Mais vraiment genre 4 ou 5. Pour avoir, encore une fois, une conclusion qui n'en est pas une. Snyder a vraiment un gros souci pour conclure. On devrait l'appeler Jean Claude Snyder.
Capullo, lui, arrive à traduire les délires de son pote. C'est très beau, lisible. Du grand art.
Contrairement au tome 1 qui m'aura convaincu après 2 lectures, celui ci avait déjà fait le taf à l'époque.
C'est donc avec plaisir que je retrouve ces batmens badass à souhait.
Chaque histoire est plus ou moins intéressante mais suffisamment pour donner envie d'en savoir plus.
Visuellement, chaque épisode est dessiné par un artiste différent mais au style plutôt similaire. Le Capullo style. Vraiment très beau.
On retourne aussi un petit peu sur l'histoire principale, sans vraiment avancer, toujours dans l'esprit complexe dans la forme mais pas dans le fond.
Il m'aura fallu 2 lectures, bien espacé, pour me rendre compte que ce tome est vraiment très bon. Ce que je trouvais tordu, est finalement assez simple et faussement complexe. L'histoire démarre à 100 à l'heure et ne s'arrête plus. Certes il faudra accepter les délires de Snyder mais en le prenant comme un blockbuster, c'est vraiment cool à lire.
Visuellement, j'ai toujours aimé le style Capullo et encore une fois il livre un grand travail, riche en détail, et avec une palette de couleur hyper variée.
Relecture en vue de la découverte du Batman qui rit, sur ma PàL depuis un siècle.
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