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Octave Mirbeau

Octave Mirbeau

Octave Mirbeau, né le 16 février 1848 à Trévières (Calvados) et mort le 16 février 1917 à Paris, est un écrivain, critique d'art et journaliste français. Il connaît une célébrité européenne et de grands succès populaires, tout en étant également apprécié et reconnu par les avant-gardes littéraire...

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Octave Mirbeau, né le 16 février 1848 à Trévières (Calvados) et mort le 16 février 1917 à Paris, est un écrivain, critique d'art et journaliste français. Il connaît une célébrité européenne et de grands succès populaires, tout en étant également apprécié et reconnu par les avant-gardes littéraires et artistiques, ce qui n'est pas commun.

Journaliste influent et fort bien rémunéré, critique d’art défenseur des avant-gardes, pamphlétaire redouté, Octave Mirbeau est aussi un romancier novateur, qui a contribué à l'évolution du genre romanesque, et un dramaturge, à la fois classique et moderne, qui a triomphé sur toutes les grandes scènes du monde.

Avis sur cet auteur (15)

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    Couverture du livre « Les mémoires de mon ami » de Octave Mirbeau aux éditions L'arbre Vengeur

    Musdjo32 sur Les mémoires de mon ami de Octave Mirbeau

    Une plume brillante aiguisée comme une lame. Parfois glaçant et profondément amoral, cynique et ironique à souhait. Ce chef d’œuvre du second degré secoue sévèrement nos considérations "Humanégoïstes" si contemporaines.
    L'auteur tape de tous les cotés, la justice, la bêtise et sa mauvaise foi...
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    Une plume brillante aiguisée comme une lame. Parfois glaçant et profondément amoral, cynique et ironique à souhait. Ce chef d’œuvre du second degré secoue sévèrement nos considérations "Humanégoïstes" si contemporaines.
    L'auteur tape de tous les cotés, la justice, la bêtise et sa mauvaise foi est tout à fait contaminante.

    On retrouve un peu la philosophie d'un Brassens dans "la mauvaise réputation" ou " l'Hommage à Don juan" avec un cynisme plus affirmé.

    Amusant pour un roman écrit en 1899 !

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    Couverture du livre « Le journal d'une femme de chambre » de Octave Mirbeau aux éditions Folio

    caro manil sur Le journal d'une femme de chambre de Octave Mirbeau

    lecture cocasse ^^
    Célestine, femme de chambre, la plupart du temps dans des familles bourgeoises, nous dépeint ces portraits de famille ... Elle ne manque pas d'humour pour nous expliquer sa servitude, son exploitation et ses révoltes contre son statut !
    Voici un classique très agréable à...
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    lecture cocasse ^^
    Célestine, femme de chambre, la plupart du temps dans des familles bourgeoises, nous dépeint ces portraits de famille ... Elle ne manque pas d'humour pour nous expliquer sa servitude, son exploitation et ses révoltes contre son statut !
    Voici un classique très agréable à lire ...

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    Couverture du livre « Contes de la chaumière » de Octave Mirbeau aux éditions Motifs

    Géland Charline sur Contes de la chaumière de Octave Mirbeau

    Un livre de nouvelles, aussi captivantes les unes que les autres. Parfois courtes ou longues, parfois drôles ou émouvantes. L'auteur nous livre une description de la vie paysanne en Normandie avec justesse.

    Un livre de nouvelles, aussi captivantes les unes que les autres. Parfois courtes ou longues, parfois drôles ou émouvantes. L'auteur nous livre une description de la vie paysanne en Normandie avec justesse.

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    Couverture du livre « Le journal d'une femme de chambre » de Octave Mirbeau aux éditions Folio

    Sarah Kirschner sur Le journal d'une femme de chambre de Octave Mirbeau

    Les coulisses de la bourgeoisie à travers le regard acerbe d'une simple soubrette. Tableau sans compromis des faux-semblants de la société bien-pensante du XIXe siècle, ce Journal pourrait tenir tout entier dans cette citation: Si infâmes que soient les canailles, ils ne le sont jamais autant...
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    Les coulisses de la bourgeoisie à travers le regard acerbe d'une simple soubrette. Tableau sans compromis des faux-semblants de la société bien-pensante du XIXe siècle, ce Journal pourrait tenir tout entier dans cette citation: Si infâmes que soient les canailles, ils ne le sont jamais autant que les honnêtes gens." On n'en dévore pas moins l'ensemble de l'ouvrage.