Deux livres pour découvrir et mieux comprendre l’univers et les engagements de la romancière canadienne
Deux livres pour découvrir et mieux comprendre l’univers et les engagements de la romancière canadienne
Alors que la série revient sur OCS, tentez de remporter la nouvelle la traduction du chef-d’œuvre de Margaret Atwood
Plus de 30 ans après "La Servante écarlate", la romancière canadienne publie la suite de son roman culte
On aime, on vous fait gagner le roman dystopique culte de Margaret Atwood
Les thèmes flippants de cette dystopie m avaient attiré ma curiosité. Mais l écriture ma vraiment ennuyée. Les deux seules parties que j ai à peu près appréciées sont les notes historiques et la postface dommage.
Trois mondes se superposent, s'opposent et rivalisent entre eux. Il y a la plèbezone où se côtoient les plus mauvaises personnes. C'est le monde de l'argent, de la violence et du sexe. Un autre monde se veut le meilleur et a son armée pour régenter le pays, le Corpsecorps : il est constitué de scientifiques qui utilisent de nouvelles techniques pour reconstituer un monde parfait : des animaux et des aliments transgéniques et même de nouveaux humains. Ils n'hésitent pas pourtant à utiliser les armes quand on s'oppose à eux. Et enfin, il y a la secte des jardiniers qui refuse la violence et vénère ce que Dieu a créé : les plantes et les animaux. Ils prédisent le déluge des airs et c'est ce qui arrive. le microbe se répand et aucune population ne résiste, ou presque. Seules quelques créatures survivent, dont Toby et Ren qui avaient quitté les jardiniers pour diverses raisons. Il semblerait cependant que ce qu'elles ont appris dans cette secte, leur permet justement de ne pas succomber face à leurs ennemis. Puis à la fin, on se rend compte qu'elles ne sont pas seules et elles vont partir à la recherche des autres. Tout le long du récit, l'auteur fait référence au passé de chacun des membres de la secte, on apprend comment ils en sont arrivés là. En même temps, on suit les aventures de Toby et Ren qui s'en sortent, malgré le déluge qui a eu lieu.
J'ai eu un peu de difficultés au départ, je trouvais l'histoire un peu longue et il fallait s'y retrouver parmi tous ces personnages divers. Mais il s'avère que cela devient de plus en plus passionnant et on veut connaître la chute.
Margaret Atwood... décidemment une grande écrivaine! connue pour "la servante écarlate", elle récidive avec ce lire d'anticipation. Il date de 2005, mais tout ce qu'elle y écrit est si inquiétant par les descriptions du monde qui paraissent tellement d'actualités et captivant, on a du mal à le lâcher, une fois commencé.
J’aime la poésie qui émeut, me fait vibrer. Dans ces « Poèmes tardifs », je n’ai rien trouvé de cela et cette découverte de Margaret Atwood poète est pour moi très décevante.
Dans la préface, Margaret Atwood explique que « la poésie prend pour thèmes tout ce qui se situe au cœur de l’existence humaine : la vie, la mort, le renouveau, le changement… » Mais à vouloir embrasser tant de thèmes, l’auteure finit par nous égarer.
J’ai trouvé l’ensemble très prosaïque, voire d’une platitude affligeante. Faut-il y voir des faiblesses dans la traduction ? Je ne pense pas que ce soit l’explication.
Malheureusement, je suis restée à côté et me suis bien ennuyée.
Et même les poèmes aux accents écolos ne m’ont pas émue
« Oh enfants, allez-vous grandir dans un monde sans oiseaux ?
Y aura-t-il des grillons, là où vous êtes ?
Y aura-t-il des asters ?
Des palourdes, au minimum.
Peut-être pas des palourdes. »
Bien sûr, tout cela est mon propre ressenti et j’ignore ce qu’en pensent les palourdes…
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