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Kem Nunn

Kem Nunn
Kem Nunn est né en 1948 à Pomona, Californie. Après La Reine de Pomona (Gallimard, « La Noire », 1993), Surf City (Gallimard, « Série noire », 1995) et Le Sabot du diable (Gallimard, « La Noire », 2004), Tijuana Straits (Sonatine, 2011), Chance est son cinquième roman publié en France.

Avis sur cet auteur (7)

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    Couverture du livre « Chance » de Kem Nunn aux éditions Sonatine

    Ghislaine Moreau sur Chance de Kem Nunn

    Quand ta vie bascule, que tu prends toutes les mauvaises décisions et que tu te demandes comment u vas t'en sortir. A découvrir

    Quand ta vie bascule, que tu prends toutes les mauvaises décisions et que tu te demandes comment u vas t'en sortir. A découvrir

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    Couverture du livre « Chance » de Kem Nunn aux éditions Sonatine

    Carlita Lit sur Chance de Kem Nunn

    On commence tranquillement, comme si l'auteur ne voulait pas nous bousculer tout de suite, nous laisser le temps d'entrer. Puis on fini par basculer. Basculer dans un monde de contradictions, de tout et son contraire. Le personnage principal, psy de son état, s'en donne alors à coeur joie. Les...
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    On commence tranquillement, comme si l'auteur ne voulait pas nous bousculer tout de suite, nous laisser le temps d'entrer. Puis on fini par basculer. Basculer dans un monde de contradictions, de tout et son contraire. Le personnage principal, psy de son état, s'en donne alors à coeur joie. Les USA eldorado des Mexicains ? Pas si sûr. Un roman qui prend aux tripes.

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    Couverture du livre « Surf city » de Kem Nunn aux éditions Gallimard

    Jerome Leblanc sur Surf city de Kem Nunn

    C'est un très bon polar se déroulant dans le milieu des surfeurs US.
    Le ton est noir, la violence palpable, et l'intrigue est bien menée. On est loin des pitreries à la "Point Break" pour découvrir une nouvelle face obscure de l'Amérique.

    C'est un très bon polar se déroulant dans le milieu des surfeurs US.
    Le ton est noir, la violence palpable, et l'intrigue est bien menée. On est loin des pitreries à la "Point Break" pour découvrir une nouvelle face obscure de l'Amérique.

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    Couverture du livre « Tijuana Straits » de Kem Nunn aux éditions 10/18

    Dominique Sudre sur Tijuana Straits de Kem Nunn

    Faire se rencontrer une jeune femme en lutte contre des pollueurs assassins, des surfeurs sur le retour, des émigrés mexicains en mal d’Amérique et des paumés sans foi ni loi, voilà le pari risqué de ce roman, c’est à mon avis un pari gagné.
    A la frontière du Mexique, près de Tijuana, pas de...
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    Faire se rencontrer une jeune femme en lutte contre des pollueurs assassins, des surfeurs sur le retour, des émigrés mexicains en mal d’Amérique et des paumés sans foi ni loi, voilà le pari risqué de ce roman, c’est à mon avis un pari gagné.
    A la frontière du Mexique, près de Tijuana, pas de policier enquêteur, pas de héros solitaire et magnifique, mais la rencontre improbable entre Sam la mouette, ancien surfeur paumé, décalé, vivotant sur les terres héritées d’un père trop malsain pour être acceptable, et Magdalena, belle jeune femme mexicaine, qui cherche à faire cesser, ou obtenir réparation pour les graves préjudices sur la santé provoqués par ces usines dont les propriétaires, la plupart du temps américains, ne se soucient pas.
    Un roman où l’on croise des ouvriers d’usines tellement contaminés par les produits qu’ils utilisent quotidiennement à haute dose que leur vie est détruite, de pauvres mexicains qui risquent leur vie pour passer la frontière vers un hypothétique eldorado, d’anciens surfeurs qui ont connu leur heure de gloire en surfant la Mystic Peak, La Vague, celle qu’ils attendent toute un vie, sans être certains de savoir la survoler.
    C’est un roman qui se lit d’une traite. Bien écrit, émouvant, fascinant, parfois sordide jusqu’à la folie, dur aussi, sans pitié, où les coups et les morts sont sanglants, mais où des personnages aux sentiments humains forts émergent de cet univers glauque et sombre.