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John Irving

John Irving

John Irving, né en 1942 à Exeter, a grandi dans le New Hampshire.

Depuis la parution du Monde selon Garp en 1978, il accumule les succès tant auprès du public que de la critique, parmi lesquels L'Œuvre de Dieu, la Part du Diable (1985), Une prière pour Owen (1989) ou encore Avenue des Mystères (...

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John Irving, né en 1942 à Exeter, a grandi dans le New Hampshire.

Depuis la parution du Monde selon Garp en 1978, il accumule les succès tant auprès du public que de la critique, parmi lesquels L'Œuvre de Dieu, la Part du Diable (1985), Une prière pour Owen (1989) ou encore Avenue des Mystères (2015).

Articles en lien avec John Irving (1)

  • Le livre qui a changé votre vie : le palmarès des 20 livres les plus cités
    Le livre qui a changé votre vie : le palmarès des 20 livres les plus cités

    Pour célébrer ses 20 ans, France 5 a lancé un sondage en ligne demandant "quel est le livre qui a changé votre vie ?".A cette question, plus de 6000 internautes ont répondu. Le palmarès a été révélé le 11 décembre 2014 par François Busnel lors de son émission littéraire "La Grande Librairie".

Avis sur cet auteur (97)

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    Couverture du livre « Une veuve de papier » de John Irving aux éditions Points

    Sevlipp sur Une veuve de papier de John Irving

    Bon d'accord, ce n'est pas "Le monde selon Garp" mais j'ai encore eu beaucoup de plaisir à lire ce John Irving ; ce que ce type écrit bien.
    Comme d'habitude l'histoire est loufoque mais c'est ça qui est bien.
    On va suivre la petite Ruth, quittée par sa mère à 4 ans, qui va devenir grande et...
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    Bon d'accord, ce n'est pas "Le monde selon Garp" mais j'ai encore eu beaucoup de plaisir à lire ce John Irving ; ce que ce type écrit bien.
    Comme d'habitude l'histoire est loufoque mais c'est ça qui est bien.
    On va suivre la petite Ruth, quittée par sa mère à 4 ans, qui va devenir grande et dont cette absence la marquera à jamais.
    Il y a aussi tous les autres personnages ; comme d'habitude haut en couleurs.
    L'histoire n'est pas racontable car on ne peut pas raconter un Irving ; c'est ce qui fait la marque de cet auteur.
    Son style est inimitable.
    Ce roman fait près de 600 pages et contrairement à d'autres critiques, je ne me suis jamais ennuyée.

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    Couverture du livre « Le monde selon Garp » de John Irving aux éditions Points

    Thierry R sur Le monde selon Garp de John Irving

    Un livre plein de sensibilité et d'humour où éclats de rire et larmes se succèdent voir se superposent.
    Un monde réaliste et tellement humain avec cette touche d'irréalisme et de rêve qui nous concerne tous dans la perception de notre environnement.
    A ne pas lire dans un lieu public...

    Un livre plein de sensibilité et d'humour où éclats de rire et larmes se succèdent voir se superposent.
    Un monde réaliste et tellement humain avec cette touche d'irréalisme et de rêve qui nous concerne tous dans la perception de notre environnement.
    A ne pas lire dans un lieu public...

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    Couverture du livre « Une prière pour Owen » de John Irving aux éditions Points

    Fanfan Do sur Une prière pour Owen de John Irving

    John Wheelwright raconte l'histoire de sa vie avec son meilleur ami, Owen Meany, étrange personnage miniature à grandes oreilles et à la voix de fausset, convaincu d'avoir été choisi par Dieu pour remplir une mission…
    J'ai tout de suite été embarquée dans cette histoire d'enfants, mais aussi de...
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    John Wheelwright raconte l'histoire de sa vie avec son meilleur ami, Owen Meany, étrange personnage miniature à grandes oreilles et à la voix de fausset, convaincu d'avoir été choisi par Dieu pour remplir une mission…
    J'ai tout de suite été embarquée dans cette histoire d'enfants, mais aussi de famille au sens large, et totalement médusée par l'affection que tout le monde porte à Owen, cette petite chose minuscule à la voix de lutin. C'est comme si tout un chacun reconnaissait en lui une sorte de messie mais avec une tête à bisous. Et en même temps je me disais qu'au moyen-âge il aurait fini sur le bûcher tant il pouvait inspirer une sorte de terreur à certains moments.
    J'ai détesté la relation malsaine qu'entretiennent Noah et Simon avec leur soeur Hester, la rabaissant toujours à sa condition de fille, faisant d'elle par la même occasion une proie sexualisée qu'ils destinent à certains abus. D'ailleurs, tout au long de l'histoire j'ai été autant en colère qu'elle concernant sa condition de fille, car les parents eux-mêmes misent tout sur leurs garçons et la négligent, ne lui trouvant aucun intérêt, ce qui aura des répercussions sur toute sa vie.
    C'est aussi le souvenir d'une maman, Tabitha, qui aimait les gens et que les gens aimaient, des petits aux grands, parce qu'elle était belle, douce et généreuse, et du vide que son absence à laissé…
    Et c'est le vague espoir de John, le narrateur, qui se demande s'il saura un jour qui est son géniteur tout en n'étant pas sur de vouloir le savoir. Tout ça sur fond de guerre du Vietnam en arrière-plan, omniprésente.
    En fait c'est une histoire multiple, comme sont les histoires de vies, de familles et d'amitiés.

    Hélas, rapidement j'ai trouvé qu'il était beaucoup trop question de religion à mon goût. J'ai même eu l'impression qu'il n'était question que de ça et il a fallu que je m'accroche car la ferveur religieuse demeure un mystère pour moi. Ça m'a occasionné de très longs moments d'ennui. Et pourtant, les personnages sont passionnants dans leur humanité, parfois sensibles et magnanimes comme peut l'être Dan.
    Mais j'ai aussi été très dubitative quant à la peur et l'attraction que produit Owen sur les gens, enfant mi-ange mi-démon, car je n'ai pas du tout aimé ce personnage, arrogant, hautain, autoritaire et sûr de lui bien que tout petit. Je l'ai trouvé totalement antipathique.

    Malgré tout, à un peu plus de la moitié du livre (enfin), j'ai commencé à y trouver un intérêt. Notamment je me suis demandé ce qu'était réellement Owen, quel était son destin, lui ce géant dans un corps minuscule, si manipulateur, despotique et donneur de leçons mais aussi extrêmement intelligent, et quel était le secret qu'il cachait.
    J'ai même fini par changer d'avis sur lui, mais pas totalement.
    Ce roman a été une immersion totale à travers plusieurs décennies de l'Histoire de l'Amérique.
    Alors, bien que je n'ai pas aimé la première moitié, j'ai adoré le reste et du coup j'en garde un sentiment très positif.
    Quant à Owen, je ne sais toujours pas que penser… si ce n'est que sa foi en Dieu l'a porté très haut.

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    Couverture du livre « Avenue des mystères » de John Irving aux éditions Seuil

    Brigitte Canovas sur Avenue des mystères de John Irving

    Juan Diego Guerrero est un écrivain américain qui voyage aux Philippines accueilli par un ancien élève et sa famille. Tout au long du voyage, il revoit en rêve son enfance à Oaxaca, au Mexique, où il a vécu dans une décharge avec sa soeur Lupe, extralucide. Ayant appris à lire tout seul, il...
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    Juan Diego Guerrero est un écrivain américain qui voyage aux Philippines accueilli par un ancien élève et sa famille. Tout au long du voyage, il revoit en rêve son enfance à Oaxaca, au Mexique, où il a vécu dans une décharge avec sa soeur Lupe, extralucide. Ayant appris à lire tout seul, il devient le protégé de Frère Pepe, un jésuite au grand coeur, qui travaille à l'Orphelinat des Enfants Perdus, et d'Edward Bonshaw qui vient de l'Iowa, pour être professeur. Juan Diego et Lupe quitteront les Enfants Perdus pour le cirque des Merveilles, où sévit Ignacio, le dompteur de lions, amateur de très jeunes filles.
    Au cours de son voyage aux Philippines, Juan Diego qui prend des médicaments un peu au hasard : bétabloquants et viagra, rencontre une mère et sa fille, aussi nymphomanes que mystérieuses, Miriam et Dorothy.
    John Irving nous fait voyager entre deux époques, différents pays. Je me suis attachée à Juan Diego, 14 ans, et sa soeur, Lupe qui parle beaucoup et que personne ne comprend, sauf son frère, à ses amis et protecteurs, Rivera, le chef du basurero, Frère Pepe, Edward et Flor, un travesti, le docteur Vargas. J'ai moins apprécié le personnage qu'il est devenu, plutôt mou, manipulé par les deux nymphomanes.
    J'ai apprécié les talents de conteur de l'auteur, qui personnifie les 2 statues de la Vierge : la Vierge Marie et celle de Guadalupe, qui aborde différents sujets : la religion, le sexe, l'homosexualité, la prostitution, le sida. Ses personnages naviguent entre le bien et le mal. Je lirai avec plaisir ses autres romans.