Quand le bonheur s'échappe petit à petit....
Polly coule des jours heureux sur la petite île de Mount Polbearne en compagnie de Huckle et de Neil. Mais c'est surtout de sa boulangerie qu'elle est fière, son petit défi à elle.
Malheureusement ce bonheur est vite gâché par le décès de la propriétaire de son commerce mais aussi par la sœur de celle ci qui charge son fils de trouver le pot aux roses.
Petit à petit Polly va dépérir face à ce personnage ingrat, et ce n'est pas le départ précipité de son cher et tendre qui va arranger les choses.
Seule face à son bourreau, de quelle manière Polly va t'elle s'en sortir. Et surtout es-ce que son couple va pouvoir tenir la distance, car il y a un océan entre elle et Huckle.
Quel bonheur de retourner à la Boulangerie de Mount Polbearne. Polly et Huckle m'avaient manqué même si dans ce second tome j'ai trouvé
Polly quelque peu agaçante. En effet, j'ai eu l'impression d'avoir affaire à une ado plutôt qu'a une adulte par moment.
Dans ce tome-ci nous avons une intrigue plus consistante que le 1er, et quelques rebondissements. Ajoutées à celle-ci quelques intrigues secondaires, qui mises bout à bout, rejoignent l'intrigue principale pour notre plus grand bonheur.
Les secrets du premier tome tombent et une tempête s'annonce, mais une vraie tempête avev de l'eau et tout
Je lis en général Jenny Colgan lorsque j'ai envie de légèreté, de rire, d'être plongée dans l'univers douillet de l'Écosse ou du charme désuet de l'Angleterre.
Bref d'un roman sous un plaid avec une bonne tasse de thé !
Ici, rien de tout cela même si au départ j'ai été séduite par le décors de Cambridge. Malheureusement, je ne m'attendais pas du tout à de la science fiction et encore moins mêlée à une romance à l'eau de rose ....Et que dire des personnages ? Tous farfelus mais sans le côté attachant, sans profondeur.
Je n'aime pas dire cela car l'auteur y a passé du temps mais je me suis ennuyée du début à la fin ....
Le second tome de la saga
Polly est la plus heureuse des femmes : elle vit dans son phare avec Huckle son merveilleux petit ami et Neil leur macareux. Elle adore se lever à l'aube pour faire du pain dans la boulangerie de Mrs Manse, son pain qui a beaucoup de succès auprès des habitants de l'île. Mais un événement malheureux vient chambouler ce bel équilibre et il va falloir beaucoup de courage à Polly pour s'en sortir !
J'ai dégusté ce roman tout au long du mois en livre audio et c'était très sympa ! Ça fait plus de deux ans que j'avais lu le premier tome donc je ne m'en rappelais plus trop mais on est vite remis dans le bain.
J'ai vraiment été à fond avec Polly qui a bien des ennuis dans ce tome, et certains moments étaient hyper prenants mais je ne peux rien dévoiler...
Comme après le premier, j'ai juste envie d'aller visiter les Cornouailles immédiatement !
Tous les personnages sont vraiment chouettes, il n'y a pas de grosse surprise mais les romans de Jenny Colgan font partie de ces romans doudous qui nous enveloppent dans une bulle douce et bienveillante hyper agréable !
Je suis moins fan, en revanche, des petites allusions au sexe très présentes tout le long du roman et un peu lourdingues "oh oui je n'ai pas été sage, tu vas me punir". Sérieusement, ça n'avait aucun intérêt mais c'est mon seul bémol !
J'ai par contre bien aimé la place faite à Neil le macareux, véritable petite mascotte de la boulangerie.
C’est le premier Jenny Colgan que je lis et je dois dire que je suis assez mitigée. J’ai subi quelques petites longueurs (il aurait vraiment pu être plus court) et le manque d’optimisme ambiant de ce roman m’a déplu, surtout pour un roman de Noël. Alors oui les choses s’arrangent au cours des derniers chapitres mais il y eut trop de sarcasmes et de clichés pour moi malheureusement…
La relation des deux sœurs, Carmen et Sofia, est assez compliquée, il y a donc régulièrement des frictions. L’intervention de la nounou « légèrement » détestable n’arrange rien non plus. Les relations amoureuses en prennent un coup aussi. L’écrivain célèbre est imbuvable et le triangle amoureux assez convenu. L’ambiance n’est pas romantique et ne fait pas rêver. Même la librairie est lugubre une bonne partie du roman (et est donc, à ce moment-là, loin d’être charmante). Non vraiment, le sentiment général n’est pas folichon. Mais heureusement, on ressent la magie d’Edimbourg, et même si elle essuie elle aussi quelques critiques, elle arrive tout de même à sortir son épingle du jeu. La transformation de la relation entre les enfants de Sofia et leur tante est aussi agréable à lire. J’ai également été heureuse de ressentir enfin, dans le dernier quart je dirai, l’atmosphère mystérieuse et atypique de la librairie de Mr McCredie. Ses recoins, ses secrets, ses livres empilés, son côté désuet… Une vraie petite boutique comme je les aime.
En bref, ce ne fut pas une mauvaise lecture mais elle n’a pas su me toucher et me marquer. Je préfère les romans de Noël très optimistes, ceux qui mettent du baume au cœur et qui réjouissent. Ceux de Carène Ponte, humains et bourrés d’humour, me correspondent mieux. Je ne vais donc pas m’étendre davantage sur celui de Jenny Colgan et vous demander : Et vous, l’avez-vous lu et aimé ?
Sur mon blog : https://ducalmelucette.wordpress.com/2023/12/21/lecture-noel-a-la-charmante-librairie-de-jenny-colgan/
La confiserie de Rosie
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Noël à la confiserie de Rosie
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La confiserie de Rosie Tome 1
Coffret Jenny Colgan - 4 en 1 - La Charmante Librairie
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