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Henri Loevenbruck

Henri Loevenbruck

Henri Loevenbruck est né en 1972 à Paris. Fils d'enseignants, il grandit dans le quartier de la Nation et hérite de ses parents d'une passion pour la culture anglo-saxonne. A 25 ans, après des études littéraires, il épouse d'ailleurs une Anglaise et part vivre avec elle en Angleterre puis ils rev...

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Henri Loevenbruck est né en 1972 à Paris. Fils d'enseignants, il grandit dans le quartier de la Nation et hérite de ses parents d'une passion pour la culture anglo-saxonne. A 25 ans, après des études littéraires, il épouse d'ailleurs une Anglaise et part vivre avec elle en Angleterre puis ils reviennent en banlieue parisienne. Après quelques pas dans le journalisme et la musique, au milieu des années 90, amoureux des littératures de l'imaginaire, il fonde Science-Fiction Magazine avec Alain Névant, un ami d'enfance. Après avoir tenu le poste de rédacteur en chef de ce magazine pendant plusieurs années, il décide ensuite de se consacrer pleinement à l'écriture. Il partage aujourd'hui son temps entre les romans et les scénarios, avouant son penchant pour le thriller investigatif, la Fantasy et le roman d'aventure en général.

Avis sur cet auteur (177)

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    Couverture du livre « Nous rêvions juste de liberté » de Henri Loevenbruck aux éditions J'ai Lu

    Anita Millot sur Nous rêvions juste de liberté de Henri Loevenbruck

    Hugo Felida (le narrateur) a seize ans. Il vit à Providence – à l’Enclave – avec ses parents. Plus exactement ses parents vivent dans une maison et lui dans une roulotte, héritée de Papy Galo, un vieux gitan dont il pleure encore la mort. Sa petite soeur Vera est morte, elle aussi, fauchée par...
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    Hugo Felida (le narrateur) a seize ans. Il vit à Providence – à l’Enclave – avec ses parents. Plus exactement ses parents vivent dans une maison et lui dans une roulotte, héritée de Papy Galo, un vieux gitan dont il pleure encore la mort. Sa petite soeur Vera est morte, elle aussi, fauchée par un chauffard, alors que sa mère lui donnait la main … Depuis, son père est aux abonnés absents et sa mère noie son chagrin dans l’alcool …

    Bagarreur et renvoyé du lycée public de son quartier, il va être inscrit au lycée privé (sa dernière chance) où il va rencontrer un garçon qui va changer et illuminer sa vie : Freddy Ceresto (« le rital ») réputé être un « mauvais garçon », dont le père a un garage. Et sa petite bande, composée d’Oscar (« le chinois ») et d’Alex (« la fouine ») Des adolescents qui aiment par dessus tout le Rock’n Roll … Et les motos …

    Pour Hugo, devenu « Bohem », (surnom donné par ses trois copains, à cause de à sa roulotte) c’est un pur bonheur à vivre que cette amitié naissante, dont il avait toujours rêvé sans trop y croire … Les quatre adolescents sont désabusés – mais paradoxalement candides … Belliqueux, révoltés par toute forme d’injustice, mais aussi « puérilement » avides d’aventure et de liberté …

    La cruelle réalité de la vie va très rapidement les rattraper, hélas ! Le triste désamour des parents de notre narrateur (Hugo) comme la défection (inattendue) de Freddy auront raison de ses dernières illusions … Surtout lorsque une amitié – que l’on pensait inébranlable – se transforme en lâcheté ou trahison …

    Un roman à la fois très noir et juvénile, qui ne laisse – malheureusement – que fort peu de place à l’espoir. Un road trip tragique, qui laisse au lecteur un petit goût amer. Il sera donc difficile d’oublier Hugo, cet écrivain en devenir, qui va préférer renoncer au meilleur plutôt que de faire une croix sur ce qu’il imaginait être une amitié indéfectible !

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    Couverture du livre « L'apothicaire » de Henri Loevenbruck aux éditions J'ai Lu

    Sophie Scuto sur L'apothicaire de Henri Loevenbruck

    « L’Apothicaire » de Henri Loevenbruck est Andreas Saint-Loup, il vécut à Paris en l’an 1313.
    Ce livre est un conte philosophique, il se dévore page après page ; ça parle d’ésotérisme, d’hérésie, d’amitié, du passé, de potions, de remèdes, de drogues…
    J’ai adoré l’histoire d’Andreas, de Paris...
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    « L’Apothicaire » de Henri Loevenbruck est Andreas Saint-Loup, il vécut à Paris en l’an 1313.
    Ce livre est un conte philosophique, il se dévore page après page ; ça parle d’ésotérisme, d’hérésie, d’amitié, du passé, de potions, de remèdes, de drogues…
    J’ai adoré l’histoire d’Andreas, de Paris à Compostelle jusqu’au mont Sinaï, dans un Moyen Âge bien mystérieux.

    « Sachez qu’il existe deux chemins pour venir à Compostelle, et ces chemins, on les prend immanquablement l’un et l’autre, et en même temps. Le premier est bien réel, il est fait de cailloux, de montagnes à gravir et de fleuves à traverser, le second est intérieur, mais il est tout autant fait d’efforts, d’embûches, qui sont les épreuves de passage, des initiations, et alors le cheminant s’élève et devient digne de recevoir ce que renferme vraiment l’ultime destination. »

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    Couverture du livre « Les disparus de Blackmore » de Henri Loevenbruck aux éditions Xo

    Bagus35 sur Les disparus de Blackmore de Henri Loevenbruck

    Sur l'île de Blackmore ,à quelques encablures du continent ,de mystérieuses disparitions sèment la panique .Le mécène de l'île demande à Lorraine Chapelle ,diplômée fraîchement en criminologie de mener sa propre enquête devant l'incompétence de la police locale .Elle va être épaulée par Edward...
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    Sur l'île de Blackmore ,à quelques encablures du continent ,de mystérieuses disparitions sèment la panique .Le mécène de l'île demande à Lorraine Chapelle ,diplômée fraîchement en criminologie de mener sa propre enquête devant l'incompétence de la police locale .Elle va être épaulée par Edward Pierce ,un spécialiste des sciences occultes présent sur l'île suite à l'appel à l'aide d'un ami lui-même porté disparu .Les îliens sont peu loquaces compliquant les investigations des deux enquêteurs .Un bon polar historique .

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    Couverture du livre « Les disparus de Blackmore » de Henri Loevenbruck aux éditions Xo

    Cassy59 sur Les disparus de Blackmore de Henri Loevenbruck

    1925, sur l’île fictive de Blackmore, au large des îles Jersey et Guernesey. Lorraine Chapelle, Parisienne et première femme diplômée de Criminologie prend la navette et s’apprête à enquêter sur des affaires de disparitions. Edward Pierce, quant à lui, est anglais, et se présente comme «...
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    1925, sur l’île fictive de Blackmore, au large des îles Jersey et Guernesey. Lorraine Chapelle, Parisienne et première femme diplômée de Criminologie prend la navette et s’apprête à enquêter sur des affaires de disparitions. Edward Pierce, quant à lui, est anglais, et se présente comme « détective de l’étrange ». Ce duo improbable aura besoin d’unir ses talents pour percer les mystères de l’île.

    J’ai immédiatement accroché aux deux personnages qui ont des réparties très amusantes et des talents complémentaires. La cartésienne et le passionné de paranormal et sciences occultes forment une association détonante et singulière. Chacun fait avancer l’enquête à sa façon et on s’attache pleinement à eux.

    L’île de Blackmore est un personnage à elle-seule. Son histoire, ses habitants, le folklore ambiant et cette période de All Hallows’ Eve (désormais « Halloween ») sont propices à créer une ambiance inquiétante. J’avais l’impression d’entendre souffler le vent et le ressac sur les falaises. L’auteur nous offre une histoire très détaillée et passionnante ainsi qu’une intrigue pleine de surprises.

    Les Disparus de Blackmore est un roman policier qui tient ses promesses et que j’adorerais voir adapté au cinéma !