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Sur l'île de Blackmore ,à quelques encablures du continent ,de mystérieuses disparitions sèment la panique .Le mécène de l'île demande à Lorraine Chapelle ,diplômée fraîchement en criminologie de mener sa propre enquête devant l'incompétence de la police locale .Elle va être épaulée par Edward Pierce ,un spécialiste des sciences occultes présent sur l'île suite à l'appel à l'aide d'un ami lui-même porté disparu .Les îliens sont peu loquaces compliquant les investigations des deux enquêteurs .Un bon polar historique .
1925, sur l’île fictive de Blackmore, au large des îles Jersey et Guernesey. Lorraine Chapelle, Parisienne et première femme diplômée de Criminologie prend la navette et s’apprête à enquêter sur des affaires de disparitions. Edward Pierce, quant à lui, est anglais, et se présente comme « détective de l’étrange ». Ce duo improbable aura besoin d’unir ses talents pour percer les mystères de l’île.
J’ai immédiatement accroché aux deux personnages qui ont des réparties très amusantes et des talents complémentaires. La cartésienne et le passionné de paranormal et sciences occultes forment une association détonante et singulière. Chacun fait avancer l’enquête à sa façon et on s’attache pleinement à eux.
L’île de Blackmore est un personnage à elle-seule. Son histoire, ses habitants, le folklore ambiant et cette période de All Hallows’ Eve (désormais « Halloween ») sont propices à créer une ambiance inquiétante. J’avais l’impression d’entendre souffler le vent et le ressac sur les falaises. L’auteur nous offre une histoire très détaillée et passionnante ainsi qu’une intrigue pleine de surprises.
Les Disparus de Blackmore est un roman policier qui tient ses promesses et que j’adorerais voir adapté au cinéma !
Dans cette trilogie, nous suivons Aléa dans une contrée qui semble rassembler des influences issues des territoires celtiques, à la frontière d’une Gaule peuplée encore par les druides ou d’une Bretagne pré-arthurienne.
Henri Loevenbruck est passionné par les loups et il parvient à parsemer son cycle de passages savoureux où il y décrit leurs mœurs tout en croisant leur destinée à celle des femmes et des hommes de Gaelia : la terre de légendes où se déroule cette trilogie.
D’abord orpheline esseulée, et à mon sens un tantinet orgueilleuse et agaçante, la jeune Aléa mûrit vite - trop peut-être ? - sous le poids d’un lourd destin et s’entoure d’amis indéfectibles issus de tout horizons : louve, nain, bardé, druides et guerriers. Au fil de ces presque 1000 pages, elle va apprendre à découvrir le sens véritable de la Moïra, la fameuse : celle qui donne son nom à la saga, tout en passant de l’enfance à l’âge adulte, à l’image de la Gaelia elle-même. Les personnages, s’ils peuvent parfois sembler prévisibles ou un peu trop stéréotypés, sont touchants dans les relations d’amitié, d’amour - de haine aussi - qu’ils entretiennent les uns avec les autres.
J’ai particulièrement apprécié la manière dont l’auteur parvient à réinventer une certaine forme de légende en la faisant fusionner avec un aspect de réalisme historique qui rend d’autant plus fascinante la porosité entre le conte et la réalité.
Avec Les disparus de Blackmore nous voici plongés dans une intrigue policière fantastique. Dès les premières pages, le décor est planté, une île anglo-normande sous la brume et des habitants mystérieux !
Années 20, Lorraine Chapelle, criminologue française tout juste diplômée, se rend sur l'île de Blackmore à la demande de Sir Waldon. Sa petite-fille Margaret a disparu et la police locale tarde à lui apporter des réponses. Il compte sur Lorraine pour faire avancer les recherches. D’autres disparus sont à regretter et le prêtre du village le Père Maloy a lui aussi fait appel à un enquêteur privé pour les retrouver. Edward Pierce, détective de l’étange arrive tout droit de Londres pour mener l’enquête.
Et sur une île, la rencontre des deux enquêteurs est inéluctable. Lorraine et Edward se liant d’amitié vont conjuguer leurs talents pour tenter de retrouver les malheureux en espérant qu’il soit encore en vie.
Le moins que l’on puisse dire c’est qu’Henri Loevenbruck sait nous mettre dans l’ambiance et amener le suspense tout comme il sait distiller goutte à goutte les indices et découvertes pour nous emmener vers l’épilogue de ce mystère. L’intrigue est captivante autant qu’extrêmement documentée. En effet l’auteur s’est attaché à solidifier son intrigue par des évocations historiques, mythologiques, scientifiques … ce qui donne beaucoup de force au roman. Il faut souligner aussi la parfaite maîtrise d’une intrigue qui flirte en permanence avec le fantastique et l’étrange sans jamais se départir de sa cohérence.
J’ai particulièrement apprécié la personnalité des deux héros, la passion et la raison, Lorraine la féministe bougonne mais au grand cœur et à l’humour caustique, et Edward le dandy raffiné et cultivé mais d’une efficacité redoutable.
Un excellent moment de lecture avec ce polar historique très érudit.
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