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Henri Barbusse

Henri Barbusse
Henri Barbusse aurait pu ne pas faire cette guerre : en effet, en 1914, il avait 41 ans, des problèmes de santé et... de fortes convictions antimilitaristes. Pourtant, il s'engage, volontairement, pour, écrit-il au directeur de L'Humanité, servir ses idées en prenant les armes et anéantir les «... Voir plus
Henri Barbusse aurait pu ne pas faire cette guerre : en effet, en 1914, il avait 41 ans, des problèmes de santé et... de fortes convictions antimilitaristes. Pourtant, il s'engage, volontairement, pour, écrit-il au directeur de L'Humanité, servir ses idées en prenant les armes et anéantir les « ennemis infâmes de toujours : le militarisme et l'impérialisme, le Sabre et la Botte ». À son retour, il adhérera au Parti communiste et, en 1933, présidera le mouvement pacifiste et anti-fasciste Amsterdam Pleyel.

Avis sur cet auteur (3)

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    Couverture du livre « Le Feu- Journal d'une Escouade » de Henri Barbusse aux éditions

    Joël Guillot sur Le Feu- Journal d'une Escouade de Henri Barbusse

    Livre poignant qui permet d'appréhender un peu mieux l'horreur et l'absurdié de cette gerre où les simples soldats étaient bien peu considérés.
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    Livre poignant qui permet d'appréhender un peu mieux l'horreur et l'absurdié de cette gerre où les simples soldats étaient bien peu considérés.

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    Couverture du livre « L'Enfer » de Henri Barbusse aux éditions Albin Michel

    nathalie delhaye sur L'Enfer de Henri Barbusse

    Un jeune homme trouve une place de banquier à Paris, et s'installe dans une pension de famille. Sa chambre est dotée d'une petite ouverture donnant sur celle d'à-côté. Intrigué d'abord, animé d'une curiosité malsaine ensuite, il va regarder, observer, vivre au gré de cette chambre voisine et de...
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    Un jeune homme trouve une place de banquier à Paris, et s'installe dans une pension de famille. Sa chambre est dotée d'une petite ouverture donnant sur celle d'à-côté. Intrigué d'abord, animé d'une curiosité malsaine ensuite, il va regarder, observer, vivre au gré de cette chambre voisine et de ses occupants. Tour à tour, il y découvre la nature humaine, sous ses bons et moins bons jours. Histoire d'amour naissant, adultère, fin d'amour, maladie, mort, toutes les situations sont passées au crible par cet observateur. Mal lui en prend, il ne peut plus se passer de découvrir ce qui arrive à côté, se questionne sans arrêt sur lui-même, devient fou...

    Pour son premier roman, Henri Barbusse offre ici une belle écriture pour une démarche surprenante. Bien que frisant l'érotisme selon les occupants, aucune vulgarité n'est à déplorer, certaines scènes sont dépeintes comme de vrais tableaux. "L'enfer", c'est ce que vit ce voyeur, assurément, quelle idée d'aller voir ailleurs ce qu'il s'y passe, d'entrer dans l'intimité des gens, d'analyser leurs pensées, de juger de leurs actes... Une lecture assez oppressante tout de même, on ressent un certain malaise, celui du voyeur, peut-être, le lecteur ayant l'impression d'être, lui aussi, devenu ce voyeur indécent.

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    Couverture du livre « Le Feu » de Henri Barbusse aux éditions Le Livre De Poche

    Philippe Taulet sur Le Feu de Henri Barbusse

    Un livre incroyable sur l'univers de la grande guerre. Superbe.

    Un livre incroyable sur l'univers de la grande guerre. Superbe.