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Estelle Nollet

Estelle Nollet
Née en Centrafrique, Estelle Nollet a travaillé dans la publicité en France, en Australie et en Nouvelle-Zélande, pratiqué la plongée sous-marine au Mexique, arpenté l'Afrique du Sud et Madagascar. À 36 ans, elle est de retour à Paris. Entre-temps, elle a publié On ne boit pas les rats-kangourous... Voir plus
Née en Centrafrique, Estelle Nollet a travaillé dans la publicité en France, en Australie et en Nouvelle-Zélande, pratiqué la plongée sous-marine au Mexique, arpenté l'Afrique du Sud et Madagascar. À 36 ans, elle est de retour à Paris. Entre-temps, elle a publié On ne boit pas les rats-kangourous(2009) et Le bon, la brute, etc. (2011) qui ont reçu un accueil enthousiaste de la critique et des lecteurs.

Avis sur cet auteur (14)

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    Couverture du livre « Community » de Estelle Nollet aux éditions Albin Michel

    Héloïse Goy sur Community de Estelle Nollet

    J'ai découvert Estelle Nollet avec ce livre et je n'ai pas été déçue !! S'il faut s'accrocher pour aller jusqu'au bout de ce roman catastrophe (je dis s'accrocher car certaines scènes sont particulièrement dures), le récit et le dénouement valent le détour !! L'ambiance générale m'a rappelé le...
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    J'ai découvert Estelle Nollet avec ce livre et je n'ai pas été déçue !! S'il faut s'accrocher pour aller jusqu'au bout de ce roman catastrophe (je dis s'accrocher car certaines scènes sont particulièrement dures), le récit et le dénouement valent le détour !! L'ambiance générale m'a rappelé le fameux roman "La Route" de Cormac McCarthy. A ne pas lire en cas de blues !

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    Couverture du livre « Community » de Estelle Nollet aux éditions Albin Michel

    Carole Finkel sur Community de Estelle Nollet

    Il y a le ciel, le soleil et la mer ... les baleines, les otaries à fourrure, les albatros et les gorfous sauteurs et ... des langoustes ! mais aussi des tempêtes 6 mois sur 12 sur ce minuscule ilôt volcanique isolé de tout.
    Et ce sera tout ce qui restera pour tenter de survivre dans un...
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    Il y a le ciel, le soleil et la mer ... les baleines, les otaries à fourrure, les albatros et les gorfous sauteurs et ... des langoustes ! mais aussi des tempêtes 6 mois sur 12 sur ce minuscule ilôt volcanique isolé de tout.
    Et ce sera tout ce qui restera pour tenter de survivre dans un microcosme désemparé où chacun des 10 jeunes protagonistes de la mission réagira à sa façon jusqu'à la solitude totale, très loin de l'allégresse du départ, solitude pas même, ou si peu, éclairée par l'espoir, juste riche d'interrogations et de questions existentielles.
    Pourtant ... suspens ! Alors : embarquez sans hésiter pour cette expédition belle, rude, si riche d'informations sur la vie dans une petite base scientifique et qui nous fait réfléchir sur nous-mêmes.
    Les émotions sont au rendez-vous jusqu'à la dernière ligne et le roman nous happe comme s'il était vrai, d'ailleurs (magie du style ?) on ne le lit pas : on le vit !

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    Couverture du livre « Quand j'étais vivant » de Estelle Nollet aux éditions Milady

    Camille Capron sur Quand j'étais vivant de Estelle Nollet

    L’intrigue : 4 personnages, Juma (un enfant Albinos), Harrisson (un homme blanc qui a vécu en Angleterre), N’Dilo (un homme noir) et Pearl (une éléphante) sont dans le noir complet. Ils sont morts et le savent… La lumière apparait, et sur un écran des « films » sont projetés. Films, brides de...
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    L’intrigue : 4 personnages, Juma (un enfant Albinos), Harrisson (un homme blanc qui a vécu en Angleterre), N’Dilo (un homme noir) et Pearl (une éléphante) sont dans le noir complet. Ils sont morts et le savent… La lumière apparait, et sur un écran des « films » sont projetés. Films, brides de leurs vies respectives. Films qui se succèdent, qui sont liés (mais pas chronologiquement).

    Je dois dire que le début m’avait laissée perplexe, n’étant pas habituée à ce style d’intrigue… Cependant, dès les pages suivantes, je m’y suis habituée ! Je pense que c’est ce qui rend ce livre original !

    Au fur et à mesure des projections, on en apprend beaucoup sur eux, leur histoire, leur vie. Leur bonheur et leur malheur. Leurs amis et leurs ennemis. Ils ont tous les quatre vécus au même endroit, sur la même réserve africaine, mais ont vécus des choses totalement différentes…

    On s’attache alors facilement à chacun, même s’ils sont tous différents, leurs histoires sont, chacune à leur façon, émouvantes.

    Bien que ce roman, nous dévoile le lien entre les protagonistes, il s’agit aussi d’une critique sur le massacre des éléphants pour le commerce d’ivoire, et sur le commerce des albinos…. En outre sa fonction narrative, ce roman est très instructif, nous montrant les côtés positifs (descriptions de paysages…) autant que les côtés négatifs (différences entre les couleurs de peaux, braconnages, trafics…).

    On ne s’y perd jamais en lisant ce roman, la lecture enivrante se fait doucement et nous emporte en Afrique

    Bref, un voyage, une découverte, des sentiments, un côté très humain… C’est un roman qui vaut vraiment le coup !!!

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    Couverture du livre « Quand j'étais vivant » de Estelle Nollet aux éditions Milady

    Geneviève Munier sur Quand j'étais vivant de Estelle Nollet

    Quand j’étais vivant, d’Estelle Nollet est particulièrement étonnant. Fort bien écrit, même si l’on peut considérer que le verbe est dur, vif et en tous les cas sans complaisance, ce roman est magnifiquement agencé.
    Encore une fois, il me semble dommage de dévoiler l’histoire magnifiquement...
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    Quand j’étais vivant, d’Estelle Nollet est particulièrement étonnant. Fort bien écrit, même si l’on peut considérer que le verbe est dur, vif et en tous les cas sans complaisance, ce roman est magnifiquement agencé.
    Encore une fois, il me semble dommage de dévoiler l’histoire magnifiquement agencée. Sachons seulement qu’elle narre les destins croisés de quatre personnages : Harrison, un homme blanc, N’Dilo, son ami d’enfance noir, Juma, un jeune albinos persécuté et recueilli par Harrison et Pearl, une éléphante qui voue un amour infini à l’homme blanc qui a sauvé son petit.
    C’est très violent, la mort est omniprésente et l’auteur s’y entend pour décrire la violence, la brutalité, les émotions tant des hommes que des bêtes. Elle y parle sans langue de bois du trafic de l’ivoire, de celui des Albinos et de la manne financière que représentent ces commerces. On y voit une Afrique à la frontière du ciel et de l’enfer, entre merveilleuse savane et calvaire d’animaux traqués. Sans langue de bois aucune, Estelle Nollet nous fait prendre conscience de l’horreur et donne à réfléchir.
    Le récit de ces quatre vies gâchées par l’appât du gain est très réussi et offre un beau moment de lecture.

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