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Elsa Godart

Elsa Godart
Elsa Godart est directrice de recherche en philosophie et en psychanalyse. Elle est chercheuse permanente au Laboratoire Interdisciplinaire d'Etude du Politique Hannah Arendt (LIPHA) à l'université Gustave-Eiffel. Elle a créé et dirigé le D.U. « Ethique&Numérique » à l'université Paris-Créteil. E... Voir plus
Elsa Godart est directrice de recherche en philosophie et en psychanalyse. Elle est chercheuse permanente au Laboratoire Interdisciplinaire d'Etude du Politique Hannah Arendt (LIPHA) à l'université Gustave-Eiffel. Elle a créé et dirigé le D.U. « Ethique&Numérique » à l'université Paris-Créteil. Elle est l'autrice de plus d'une vingtaine de livres dont l'Ethique de la sincérité, (Armand Colin) pour lequel elle a reçu le prix des Savoirs 2020.

Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « Je veux donc je peux ! oser être heureux » de Elsa Godart aux éditions Plon

    stephanie75 sur Je veux donc je peux ! oser être heureux de Elsa Godart

    Contestable et bancal dans son approche tant philosophique que pratique, on est malheureusement bien forcé de reconnaître une déception prévisible à la lecture de cet ouvrage. Certes, la volonté peut aider à se sortir de difficultés mais on ne peut en faire une doctrine face à des problèmes...
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    Contestable et bancal dans son approche tant philosophique que pratique, on est malheureusement bien forcé de reconnaître une déception prévisible à la lecture de cet ouvrage. Certes, la volonté peut aider à se sortir de difficultés mais on ne peut en faire une doctrine face à des problèmes complexes, parfois douloureux. On est abasourdi par les clichés et les formules toutes faites des exemples utilisés (voir le passage sur les addictions) et par l’incongruité des solutions qui confinent à la candeur et que l’auteur affirme avec un aplomb qui frise le ridicule. Dans le but de cacher ses raisonnements exagérément simplistes l’auteur use et abuse de pensées philosophiques solennelles à de nombreuses reprises inapproprié afin de donner un peu de sens à son préchi prêcha et à la toute force puissante de la « volothérapie » (quel nom !) et au final on a le sentiment d’avoir lu un livre qui nous répète en gros et de manière récurrente qu’ « avec la volonté, tout devient possible… ». C’est un peu court, et le fond n’est jamais relevé par un style grandiloquent.