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Essai sur l’oubli après les catastrophes qui par le passé ont touché toutes les nations, du moins, c’est ce que le quatrième de couverture tendait à nous faire croire ce que serait ce livre. Mais en réalité, les trois-quarts du livre tournent systématiquement autour de la Shoah et de ce que les juifs d’Europe ont subi pendant la deuxième guerre mondiale (comme si c’était les seuls !). Alors que je m’attendais à lire un essai sur comment oublier ou pourquoi la nécessité d’oublier, surtout après les actes terroristes des deux dernière décennies, il n’en fut presque rien. Je n’ai repéré qu’une seule ligne sur le conflit sino-japonais qui fit d’après les estimations entre 20 et 27 millions de victimes chinoises dont 3 millions de militaires. Mais l’auteur nous fait comprendre que ce ne serait qu’une goutte d’eau (une phrase) dans l’océan de souffrance juive. Alors non, je ne suis pas négationiste, loin de là, mais de là à privilégier une catégorie de victime, je ne suis pas d’accord, c’est manquer de respect envers les victimes des guerres en général et faire preuve même de négationnisme envers les autres peuples.
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