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Daniel Pennac

Daniel Pennac

Né à Casablanca, en 1944, dans une famille de militaires, D. Pennac voyage en Afrique et en Asie mais il passe aussi de nombreuses années en pension avant de présenter une maîtrise de lettres à Nice. Il entre alors dans l'enseignement. Il commence à écrire pour les enfants et à la suite d'un pari...

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Né à Casablanca, en 1944, dans une famille de militaires, D. Pennac voyage en Afrique et en Asie mais il passe aussi de nombreuses années en pension avant de présenter une maîtrise de lettres à Nice. Il entre alors dans l'enseignement. Il commence à écrire pour les enfants et à la suite d'un pari, propose Au Bonheur des Ogres à la Série noire. C'est le début des aventures de la famille Malaussène...

Il garde de son enfance une nostalgie du foyer et une tendresse pour la famille d'élection. Si ses écrits sont drôles et pleins d'une imagination débridée, Pennac peut aussi écrire Comme un roman, un chef d'oeuvre de pédagogie active, lucide et enthousiaste. Que l'on songe à cette phrase qui devrait guider tout enseignant :"On ne force pas une curiosité, on l'éveille." La bande dessinée Débauche, qu'il vient de signer avec Tardi, prouve sa conscience sociale et civique, révoltée par le licenciement sauvage, par ce chômeur victime d'un chef d'entreprise corrompu.

Articles en lien avec Daniel Pennac (4)

Avis sur cet auteur (232)

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    Couverture du livre « Le 6e continent » de Daniel Pennac aux éditions Gallimard

    sylvie adam sur Le 6e continent de Daniel Pennac

    Ancien malade des hôpitaux de Paris est une nouvelle très sympathique.
    On assiste aux débuts d'un jeune interne à l'hôpital, au service des urgences. Un homme lui a fait passer une mauvaise nuit en affichant des symptômes divers et variés (occlusion intestinale, globe vésical, pneumothorax,...
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    Ancien malade des hôpitaux de Paris est une nouvelle très sympathique.
    On assiste aux débuts d'un jeune interne à l'hôpital, au service des urgences. Un homme lui a fait passer une mauvaise nuit en affichant des symptômes divers et variés (occlusion intestinale, globe vésical, pneumothorax, phase terminale du tétanos...) et en passant donc d'un service à l'autre. Heureusement qu'il avait graissé les roues du chariot...
    C'est très drôle et la fin et complètement inattendue. On reconnait l'humour de Pennac.
    Le 6e continent, par contre, est une pièce de théâtre beaucoup moins comique.
    Une famille, au nom de la propreté, va faire vivre et s'agrandir une entreprise de savon, mais pas au nom de la terre, puisque qui dit "enrichissement" dit "pollution".
    C'est traité d'une manière surréaliste mais je n'y ai vu aucun humour alors j'ai été un peu déçue...

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    Couverture du livre « Un amour exemplaire » de Daniel Pennac et Florence Cestac aux éditions Dargaud

    Pilly sur Un amour exemplaire de Daniel Pennac - Florence Cestac

    J'adore les livres de Daniel Pennac. C'est pour cela que je voulais découvrir cette bande dessinée.

    Est-ce qu'un amour peut être exemplaire ? Je n'en suis pas certaine, car chaque couple est unique.
    Si je laisse de côté le titre, qui me paraît un peu exagéré, j'ai globalement apprécié cette...
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    J'adore les livres de Daniel Pennac. C'est pour cela que je voulais découvrir cette bande dessinée.

    Est-ce qu'un amour peut être exemplaire ? Je n'en suis pas certaine, car chaque couple est unique.
    Si je laisse de côté le titre, qui me paraît un peu exagéré, j'ai globalement apprécié cette histoire d'amour hors norme, et j'ai découvert les dessins de Florence Cestac, qui sont plutôt sympathiques.
    Pas un coup de cœur, mais une histoire originale, et agréable à lire.

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    Couverture du livre « Journal d'un corps » de Daniel Pennac aux éditions Folio

    Ludomi sur Journal d'un corps de Daniel Pennac

    Quelle brillante idée de faire parler un corps ! J'ai adoré ce roman, ou plutôt ce journal. A tel point qu'on croirait à un vrai journal.

    Quelle brillante idée de faire parler un corps ! J'ai adoré ce roman, ou plutôt ce journal. A tel point qu'on croirait à un vrai journal.

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    Couverture du livre « Le cas Malaussène Tome 2 : terminus Malaussène » de Daniel Pennac aux éditions Gallimard

    Aa67 sur Le cas Malaussène Tome 2 : terminus Malaussène de Daniel Pennac

    Joli moment de détente.

    Daniel Pennac a annoncé que ce serait son dernier Malaussène.
    Dans ce volet final de la saga Malaussène, on retrouve tous les personnages survivants des précédents livres. Rappelons que les sept sagas précédentes se concentrent essentiellement autour de la famille...
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    Joli moment de détente.

    Daniel Pennac a annoncé que ce serait son dernier Malaussène.
    Dans ce volet final de la saga Malaussène, on retrouve tous les personnages survivants des précédents livres. Rappelons que les sept sagas précédentes se concentrent essentiellement autour de la famille Malaussène, composée de la mère Malaussène et de ses sept enfants, chacun d'un père différent. La famille est établie dans une ancienne quincaillerie à Belleville. C'est dans ce huitième tome que l'on comprend le rôle exacte de Maman Malaussène.
    Par contre, cette fois c'est avec Pépère que Pennac ouvre les festivités. Un Pépère hors du commun mais qui pour moi aura été le plus attachant des personnages.
    Son franc parler et ses leçons pour être un bon voyou ont été mes moments préférés. Tous les conseils qu'il donne à la troisième génération (la seconde ne l'intéressant déjà plus) pourraient être pris au 1er degré (faire le ménage) mais sont tellement plus adaptés aux objectifs qu'il s'est fixés ; initier la relève à être d'irréprochables cambrioleurs, d'insaisissables brigands, bref à supprimer les témoins gênants. Irrésistible papi !
    L'autre personnage, nouveau celui-ci, est Alceste avec tout ce que nous connaissons de ce « justicier », de cet homme qui ne croit qu'à la vérité, de celui qui dénonce les corruptions planétaires les plus insoupçonnées. Par contre, et c'est là le côté amusant de l'affaire, dans ce livre et sous couvert de toujours dire la vérité, tout le monde ment à tours de bras. Pépère, comme tous les autres, mène un double jeu. Morale, politique, affaires et même en amour, tout n'est qu'apparence voire mensonge.
    Et c'est ainsi que Pennac guide notre lecture vers des thèmes très variés et très profonds. J'y est retrouvé ce côté, comment dire, presque espiègle à la Pennac, ou tout du moins ce qu'il nous en joue en plateau littéraire.
    N'accrochant que moyennement, je n'avais lu que deux de ses précédents livres et ai été un peu perdue à certains moments lorsqu'il faisait référence à des histoires ou anecdotes passées ; mais on peut suivre sans les avoir tous lus.
    En conclusion je dirais que celui-ci est plus réussi, plus profond dans les thèmes abordés. Pennac a une telle confiance en l'humanité, une telle espérance en l'avenir que, ne serait-ce que pour cela, il fait bon chaud de le lire.