Entretien avec Jean-Marie Laclavetine, écrivain et éditeur incontournables de Gallimard
Entretien avec Jean-Marie Laclavetine, écrivain et éditeur incontournables de Gallimard
Entretien chez Gallimard avec l’éditeur Jean-Marie Laclavetine
Rentrée littéraire janvier 2017 éditions Gallimard
Ingrid Desjours nous dévoile sa bibliothèque idéale
Ancien malade des hôpitaux de Paris est une nouvelle très sympathique.
On assiste aux débuts d'un jeune interne à l'hôpital, au service des urgences. Un homme lui a fait passer une mauvaise nuit en affichant des symptômes divers et variés (occlusion intestinale, globe vésical, pneumothorax, phase terminale du tétanos...) et en passant donc d'un service à l'autre. Heureusement qu'il avait graissé les roues du chariot...
C'est très drôle et la fin et complètement inattendue. On reconnait l'humour de Pennac.
Le 6e continent, par contre, est une pièce de théâtre beaucoup moins comique.
Une famille, au nom de la propreté, va faire vivre et s'agrandir une entreprise de savon, mais pas au nom de la terre, puisque qui dit "enrichissement" dit "pollution".
C'est traité d'une manière surréaliste mais je n'y ai vu aucun humour alors j'ai été un peu déçue...
J'adore les livres de Daniel Pennac. C'est pour cela que je voulais découvrir cette bande dessinée.
Est-ce qu'un amour peut être exemplaire ? Je n'en suis pas certaine, car chaque couple est unique.
Si je laisse de côté le titre, qui me paraît un peu exagéré, j'ai globalement apprécié cette histoire d'amour hors norme, et j'ai découvert les dessins de Florence Cestac, qui sont plutôt sympathiques.
Pas un coup de cœur, mais une histoire originale, et agréable à lire.
Quelle brillante idée de faire parler un corps ! J'ai adoré ce roman, ou plutôt ce journal. A tel point qu'on croirait à un vrai journal.
Joli moment de détente.
Daniel Pennac a annoncé que ce serait son dernier Malaussène.
Dans ce volet final de la saga Malaussène, on retrouve tous les personnages survivants des précédents livres. Rappelons que les sept sagas précédentes se concentrent essentiellement autour de la famille Malaussène, composée de la mère Malaussène et de ses sept enfants, chacun d'un père différent. La famille est établie dans une ancienne quincaillerie à Belleville. C'est dans ce huitième tome que l'on comprend le rôle exacte de Maman Malaussène.
Par contre, cette fois c'est avec Pépère que Pennac ouvre les festivités. Un Pépère hors du commun mais qui pour moi aura été le plus attachant des personnages.
Son franc parler et ses leçons pour être un bon voyou ont été mes moments préférés. Tous les conseils qu'il donne à la troisième génération (la seconde ne l'intéressant déjà plus) pourraient être pris au 1er degré (faire le ménage) mais sont tellement plus adaptés aux objectifs qu'il s'est fixés ; initier la relève à être d'irréprochables cambrioleurs, d'insaisissables brigands, bref à supprimer les témoins gênants. Irrésistible papi !
L'autre personnage, nouveau celui-ci, est Alceste avec tout ce que nous connaissons de ce « justicier », de cet homme qui ne croit qu'à la vérité, de celui qui dénonce les corruptions planétaires les plus insoupçonnées. Par contre, et c'est là le côté amusant de l'affaire, dans ce livre et sous couvert de toujours dire la vérité, tout le monde ment à tours de bras. Pépère, comme tous les autres, mène un double jeu. Morale, politique, affaires et même en amour, tout n'est qu'apparence voire mensonge.
Et c'est ainsi que Pennac guide notre lecture vers des thèmes très variés et très profonds. J'y est retrouvé ce côté, comment dire, presque espiègle à la Pennac, ou tout du moins ce qu'il nous en joue en plateau littéraire.
N'accrochant que moyennement, je n'avais lu que deux de ses précédents livres et ai été un peu perdue à certains moments lorsqu'il faisait référence à des histoires ou anecdotes passées ; mais on peut suivre sans les avoir tous lus.
En conclusion je dirais que celui-ci est plus réussi, plus profond dans les thèmes abordés. Pennac a une telle confiance en l'humanité, une telle espérance en l'avenir que, ne serait-ce que pour cela, il fait bon chaud de le lire.
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