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Charles Palliser

Charles Palliser
Né en 1947 à Boston aux États-Unis, Charles Palliser a vécu en Angleterre dès l'âge de huit ans et est diplômé d'Oxford. Cet universitaire qui enseignait la littérature dans une université écossaise devint célèbre en 1989 en publiant chez un petit éditeur d'Édimbourg, dont il fit aussitôt la fort... Voir plus
Né en 1947 à Boston aux États-Unis, Charles Palliser a vécu en Angleterre dès l'âge de huit ans et est diplômé d'Oxford. Cet universitaire qui enseignait la littérature dans une université écossaise devint célèbre en 1989 en publiant chez un petit éditeur d'Édimbourg, dont il fit aussitôt la fortune, un premier roman au titre mystérieux Le Quinconce. Fruit de plus de douze années de travail, cet ensemble de 1 500 pages est traduit dans le monde entier. Il est également l'auteur de Trahisons et Les Morts reviennent toujours publiés aux Éditions Phébus.

Avis sur cet auteur (8)

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    Couverture du livre « Mère et fille » de Charles Palliser aux éditions Joelle Losfeld

    Carrie sur Mère et fille de Charles Palliser

    Ma première impression après avoir refermé ce livre est de me dire « quelle étrange lecture, je ne suis pas près de relire un roman comme celui-ci de sitôt ». Pourtant, à y regarder de plus près, il n'a rien de particulier. Il débute comme un roman familial, se déroule comme un roman familial,...
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    Ma première impression après avoir refermé ce livre est de me dire « quelle étrange lecture, je ne suis pas près de relire un roman comme celui-ci de sitôt ». Pourtant, à y regarder de plus près, il n'a rien de particulier. Il débute comme un roman familial, se déroule comme un roman familial, doublé d'un soupçon de polar ou de thriller.

    Richard, 17 ans et des brouettes, rentre plus tôt que prévu pour les vacances de Noël. Il vient de se faire renvoyer – momentanément – de Cambridge et part donc retrouver sa mère et sa sœur, dans la demeure familiale située dans la campagne anglaise. Force est de constater qu'il n'était pas du tout attendu, voire son arrivée inopinée dérange la mère et la fille. Par l'unique prisme de Richard, grâce à son journal intime, nous suivrons alors les péripéties de cette drôle de famille, le jeune homme forcé d'admettre qu'il n'est tout simplement pas le bienvenu : sa sœur le regarde de haut et sa mère use de tous les stratagèmes pour le faire partir au plus vite. Mais quel secret ces deux-là peuvent-elles bien partager ? Tic-tac, tic-tac... Du 12 décembre au 12 janvier, le journal du jeune homme nous promènera au cœur de cette famille mais aussi de la société – très hiérarchisée – de cette Angleterre du 19ème siècle, jusqu'au dénouement final, glaçant.

    J'ai voulu lire ce roman après avoir en avoir entendu parler par une booktubeuse dont j'apprécie particulièrement les vidéos. Et je dois dire que l'entrée en matière fut assez complexe. Ayant pourtant l'habitude des romans anglais, classiques ou contemporains, j'avoue que je me suis parfois – souvent – perdue dans les méandres de l'intrigue, mélangeant régulièrement les personnages et devant revenir en arrière pour me rappeler qui était qui. J'ai quand même mis près d'une semaine à venir à bout de ce livre – bon, mon rythme de lecture est également plutôt lent ces derniers temps – et j'ai failli le reposer définitivement plusieurs fois. Mais je ne sais pas pourquoi, quelque chose me poussait à continuer ma lecture et j'ai bien fait, n'ayant pas vu passer les cent dernières pages. Et j'admets que lorsque toutes les pièces du puzzle se mettent en place, je ne peux qu'applaudir le talent de l'auteur. Il dit que c'est issue d'une histoire vraie ? Réalité ou non, l'intrigue est en tout cas bien ficelée.

    Pourtant, malgré la fin particulièrement réussie de mon point de vue, je sors quelque peu mitigée de cette lecture que j'ai trouvée parfois alambiquée, tant au niveau du fond que de la forme.
    L'atmosphère est glauque voire malsaine ; les descriptions, nombreuses, de cette campagne boueuse et pluvieuse, pourront en rebuter plus d'un. Les personnages sont peu avenants et très peu sympathiques. Par contre, ceux qui parviendront à aller jusqu'au bout pourraient bien, au final, apprécier cette lecture.

    Lu en janvier 2021

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    Couverture du livre « Mère et fille » de Charles Palliser aux éditions Joelle Losfeld

    christine labbe sur Mère et fille de Charles Palliser

    le 19eme , une époque appréciée par l'auteur.
    il nous emmène dans les errances d'un jeune homme .

    le 19eme , une époque appréciée par l'auteur.
    il nous emmène dans les errances d'un jeune homme .

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    Couverture du livre « Le quinconce t.2 ; faubourgs de l'enfer » de Charles Palliser aux éditions Libretto

    christine labbe sur Le quinconce t.2 ; faubourgs de l'enfer de Charles Palliser

    un voyage au 19eme siècle!

    un voyage au 19eme siècle!

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    Couverture du livre « Mère et fille » de Charles Palliser aux éditions Joelle Losfeld

    Elizabeth Pianon sur Mère et fille de Charles Palliser

    Richard, un jeune étudiant rentre chez lui où il n’est pas le bienvenu.
    Il ne connait pas les circonstances exactes de la mort de son père, sa mère et sa sœur entretiennent un étrange silence autour des évènements qui les concernent.
    L’ambiance de ce livre est sombre et glauque à souhait....
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    Richard, un jeune étudiant rentre chez lui où il n’est pas le bienvenu.
    Il ne connait pas les circonstances exactes de la mort de son père, sa mère et sa sœur entretiennent un étrange silence autour des évènements qui les concernent.
    L’ambiance de ce livre est sombre et glauque à souhait.
    Les paysages d’abord, pluie, boue…..
    Les personnages, hypocrites, médisants, étroits d’esprit….
    Et un style très anglais plein de détails, de dialogues interminables dans une intrigue qui progresse très lentement.
    Pas d’évolution 200 ans après les écrits de Jane Ausren !
    J’ai tenu 100 pages……. et abandonné.