Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Calixthe Beyala

Calixthe Beyala
Calixthe Beyala est née en 1961 au Cameroun. À dix-sept ans, elle arrive en France et suit des études de lettres et de gestion. En 1987, elle publie son premier roman, C'est le soleil qui m'a brûlée. Elle a depuis obtenu le Grand Prix littéraire de l'Afrique noire pour Maman a un amant, le Grand ... Voir plus
Calixthe Beyala est née en 1961 au Cameroun. À dix-sept ans, elle arrive en France et suit des études de lettres et de gestion. En 1987, elle publie son premier roman, C'est le soleil qui m'a brûlée. Elle a depuis obtenu le Grand Prix littéraire de l'Afrique noire pour Maman a un amant, le Grand Prix du roman de l'Académie française pour Les Honneurs perdus et le Grand Prix de l'Unicef pour La Petite Fille du réverbère. Outre sa carrière d'écrivain, elle milite auprès de nombreuses associations pour la reconnaissance des minorités, le développement de la francophonie et la lutte contre le sida. Elle est chevalier des Arts et des Lettres.

Avis sur cet auteur (1)

  • add_box
    Couverture du livre « Femme nue, femme noire » de Calixthe Beyala aux éditions Albin Michel

    Elizabeth Pianon sur Femme nue, femme noire de Calixthe Beyala

    Voilà un livre que j’ai choisi pour sa couverture (et son auteur que je trouve assez agréable) et qui se révèle être, oh surprise, un livre érotique.
    Irène Fofo, une jeune femme à peine sortie de l’enfance a deux passions : la kleptomanie et le sexe.
    D’une belle plume, Calixthe...
    Voir plus

    Voilà un livre que j’ai choisi pour sa couverture (et son auteur que je trouve assez agréable) et qui se révèle être, oh surprise, un livre érotique.
    Irène Fofo, une jeune femme à peine sortie de l’enfance a deux passions : la kleptomanie et le sexe.
    D’une belle plume, Calixthe Beyala nous entraîne au cœur d’un bidonville africain où règnent la misère, la violence et la dépravation.
    Mais à travers ce tableau pessimiste pointe tout l’amour que l’auteur porte à l’Afrique et aux africains.
    Un livre auquel je ne m’attendais pas du tout mais que j’ai lu d’une traite et plutôt bien aimé.