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Anyi Wang

Anyi Wang
Née en 1954 de parents tous deux écrivains, Wang Anyi, enfant précoce, est capable dès l'âge de quatre ans de réciter des poèmes classiques, dont Le Chant des regrets éternels du poète Bai Juyi (IXe siècle), dont elle reprendra le titre, bien des années plus tard, pour le donner à son roman. C'es... Voir plus
Née en 1954 de parents tous deux écrivains, Wang Anyi, enfant précoce, est capable dès l'âge de quatre ans de réciter des poèmes classiques, dont Le Chant des regrets éternels du poète Bai Juyi (IXe siècle), dont elle reprendra le titre, bien des années plus tard, pour le donner à son roman. C'est encore une enfant quand son père, traité de droitiste en 1957, est démis de ses fonctions dans l'armée. Dix ans après, la Révolution culturelle va ranger sa mère, comme nombre d'écrivains, parmi les « esprits malfaisants ». Elle se réfugie dans la lecture des grands écrivains chinois et étrangers, notamment Balzac. Depuis la parution de ses premiers textes en 1976, elle ne va plus cesser de publier nouvelles, romans et essais, remportant de nombreux prix littéraires. Le Chant des regrets éternels, paru en 1995, obtiendra l'une des plus hautes distinctions chinoises, le prix Maodun, en l'an 2000. Elle est élue en 2001 présidente de l'Association des écrivains de Shanghai.

Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « Lumieres de hong kong (les) » de Anyi Wang aux éditions Picquier

    Fanfan Do sur Lumieres de hong kong (les) de Anyi Wang

    Je viens de me faire un petit voyage en Nostalgie, à la recherche de l'ambiance de Hong-Kong que j'ai tant aimée.

    À peine commencé, j'y étais.

    On entend bien dans ce récit que Hong-Kong n'est pas la Chine. Hélas peut-être plus pour longtemps...

    Cette histoire, qui se passe à Hong-Kong...
    Voir plus

    Je viens de me faire un petit voyage en Nostalgie, à la recherche de l'ambiance de Hong-Kong que j'ai tant aimée.

    À peine commencé, j'y étais.

    On entend bien dans ce récit que Hong-Kong n'est pas la Chine. Hélas peut-être plus pour longtemps...

    Cette histoire, qui se passe à Hong-Kong mais avec des rêves d'Amérique, raconte entre autre la vie d'une partie de ces chinois nés ailleurs, Chinatown par exemple, important leurs coutumes mais ne sachant pas si elles ne sont pas un peu tronquées et dénaturées.

    Malheureusement, même si ça partait bien pour moi avec l'ambiance Hongkongaise, je me suis rapidement ennuyée car les évocations que j'espérais étaient trop fugaces..
    J'avais envie qu'on me raconte cette ville, on m'a raconté plus les individus, leurs pensées, leurs envies, leurs rêves.
    Je n'ai d'ailleurs pas vraiment compris la relation de Laowei avec Kaidi et Fengjia.

    Laowei (qui veut dire vieux Wei) né aux États-unis, noue une relation sentimentale avec Fengjia à Hong-Kong. Il est "vieux", la cinquantaine (Oups !), elle est beaucoup plus jeune que lui.
    Ils tentent de faire des projets d'avenir ensemble, même si Laowei ne peut pas vraiment et que de plus il se sent au bout de son chemin.
    En fait, tout le long de l'histoire on sait ce que Fengjia souhaite, c'est le rêve américain, mais concernant Laowei, je suis restée dubitative. Je n'ai pas compris ce qu'il voulait, ni quel était son but.
    Quant à Kaidi, je l'ai trouvée anecdotique.

    Malgré la belle philosophie asiatique qui émane de récit et qui nous donne à penser la vie autrement, j'ai le sentiment d'être passée à côté de cette histoire. Dommage...

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